1. Un service


    Datte: 19/02/2020, Catégories: fh, fhh, cocus, Collègues / Travail boitenuit, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... arrêter.
    
    Des mains détachent l’agrafe de mon soutien-gorge. Un instant Venus se sépare de moi pour laisser la dentelle passer mes épaules et tomber au sol. Je ne le vois pas, mais j’imagine qu’Hugo est maintenant accroupi, car ma culotte semble peser bien lourd maintenant. Elle aussi me quitte.
    
    Je crois que je me souviendrai longtemps de ce baiser que des lèvres d’homme déposent sur mes fesses. Il y a bien longtemps que Charles ne le fait plus. Me voici de nouveau entre eux deux. Maintenant nous sommes peau contre peau. Et ce que je sens contre mes fesses est autrement plus dur que ce qui vient de m’embrasser. Hugo bande. Son bâton est dressé et trouve le sillon de mes fesses.
    
    La suite est comme dans un rêve. Vénus me fait allonger. Aussitôt elle plonge vers mon intimité. Heureusement, depuis plusieurs mois, mon mari m’a suggéré de me débarrasser de ma toison. Heureusement, car dans ce milieu cela semble une évidence qu’hommes et femmes soient épilés.
    
    Jamais une femme ne m’a approchée ainsi. C’est bon, délicat, sensuel excitant. Chaque baiser, chaque coup de langue, chaque pénétration est un enchantement dans la délicatesse et le plaisir.
    
    Refuser à l’homme qui s’est approché afin que je le suce serait impoli. Pendant de longues minutes, je suce l’homme dont la femme me donne tant de plaisir.
    
    Et puis tous deux me quittent. J’ai juste le temps de voir que Sam est toujours assis, avant que l’homme se couvre d’une capote et vienne pour me prendre.
    
    Stop. Je ...
    ... vais dire Stop. Jusqu’à maintenant on peut mettre ma faiblesse sur le compte de l’ambiance du lieu. Quelques succions et léchages ne font pas une vraie infidélité ou une trahison. Ce n’est pas l’ex-président des États-Unis et sa stagiaire qui diront le contraire.
    
    Je ferme les yeux. Je rassemble mes forces pour crier. Oui, je vais crier de tout arrêter. Voilà, cela vient.
    
    — Ahhhh… est le refus de la femme qui ne veut pas, mais…
    
    La queue est déjà en chemin. C’est trop tard. Le mal est fait. Pourquoi refuser maintenant…
    
    Oh, oui, il glisse. Il avance. Je lui suis tout ouverte. Préparée. Humide de l’extérieur par la salive de Vénus, mais surtout, et c’est ma honte, de l’intérieur par l’envie que j’ai de cette possession. J’avais oublié ce qu’est la première fois avec une bite d’homme. Des années que mon con ne connaît plus que le mandrin d’un mari ou la froideur d’un sextoy ou l’étrangeté d’un œuf vibrant.
    
    C’est différent. Longue possession, prudente, comme si celui qui me prend craignait que je proteste. Il me regarde. Il scrute sur mon visage, mes réactions. Mais j’ai passé la porte. Je brûle de l’intérieur. Je ne sais si mon visage lui parle ou mes jambes qui s’ouvrent encore plus et se lèvent pour venir l’envelopper en l’attirant vers moi.
    
    — Viens.
    
    Je l’encourage et même si j’ai l’impression d’avoir pensé ce mot plutôt que de le dire, il avance. Oh que j’aime ce petit coup de rein qui me fait pleine de son bâton !
    
    Un instant son bas-ventre m’écrase et de ...
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