1. Un service


    Datte: 19/02/2020, Catégories: fh, fhh, cocus, Collègues / Travail boitenuit, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... mon côté j’ondule pour bien le sentir en moi.
    
    Alors commencent ses mouvements.
    
    En tournant un peu la tête, la vue troublée par ce que je fais, je vois pourtant Sam qui s’est levé pour venir me voir. Va-t-il rompre sa promesse et venir profiter de la femme sur le lit. Ce n’est plus la DRH qu’il connaît. Ce n’est plus la Véronique qui a affirmé qu’elle ne venait que pour voir. En tout cas, son slip présente une vraie bosse, signe d’un gland qui pousse le tissu et demande à sortir. Que doit-il penser de moi ? Peu importe.
    
    Mon baiseur s’active maintenant et chaque avancée est une offrande. Chaque retrait une angoisse. Vénus elle aussi est près de nous. Une Vénus qui regarde son mari baiser la femme qu’elle a choisie pour lui. Une Venus qui se penche, me caresse les seins et aspire mes tétons. Mais aussi une Vénus qui se redresse. Une Vénus qui m’enjambe. Une Vénus qui pousse son intimité vers mon visage.
    
    Son odeur sature mes narines. C’est une odeur de jouissance. Si je n’ai jamais léché une femme, j’en connais le parfum pour avoir souvent sucé les doigts de mon mari après qu’il m’a branlée avec. Indéfinissable. Chargée de musc, de phéromones, de sueur et peut-être de sperme si son amant s’est retiré pour jouir sur elle.
    
    Elle m’écrase. Ma bouche est maintenant dans sa fente et mon nez est au bord de l’anus. Elle s’est placée face à son mari. En se penchant, elle est au plus près de mes cuisses et de ce qui s’y passe. Placée ainsi, elle ondule et c’est plus elle qui ...
    ... se caresse que moi qui le fais. Je ne fais juste que pousser ma langue au plus profond de sa chatte et parfois effleurer son clito lorsqu’elle cesse de bouger.
    
    Je suis dans le noir, mais je vois tout ce qui se passe autour de moi.
    
    Sam qui doit être dans tous ses états. L’homme qui me baise et doit montrer à sa femme son mandrin qui entre, sort puis revient dans cette chatte offerte. La femme que je lutine et qui regarde.
    
    Je comprends mieux maintenant le partage. C’est autant coucher avec un ou une autre, mais aussi et peut-être surtout le plaisir de voir son conjoint baiser devant soi.
    
    Soudain mon clitoris est caressé. Deux doigts le titillent. Je sursaute, mais c’est pour aller au-devant du pieu qui palpite.
    
    Je suce, je lèche, j’aspire le clito de Vénus que j’ai enfin réussi à extraire de sa gangue.
    
    On me bourre.
    
    — Va, mon chéri, baise-la bien. Il faut qu’elle se souvienne toute sa vie de son passage ici. Oui ! Profond. Fais-la jouir, mais retiens-toi, après je veux que tu la reprennes comme une cochonne, une salope emportée par son plaisir.
    
    Je sens des mains qui attrapent mes chevilles et semblent les passer à d’autres. C’est Vénus qui me tient ainsi maintenant, cuisses largement écartées et repliées vers moi, donnant ainsi à mon baiseur encore plus de liberté.
    
    Et il s’en saisit. C’est la liberté de me bourrer plus fort, plus profond, plus brutalement. La pièce résonne du claquement de son ventre contre mes fesses maintenant soulevées.
    
    Je n’en ...
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