Amnésie temporelle
Datte: 18/02/2020,
Catégories:
fh,
hh,
hplusag,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... le câlinai comme j’aurais câliné un fils, un frère.
Quand sa main frôla ma toison, malgré un raidissement de tout mon être, je laissai faire.
Quand ses doigts se refermèrent autour de ma queue, cette conne se redressa.
Quand ses lèvres se posèrent sur les miennes, ma bouche s’entrouvrit.
Mes défenses cédaient une à une.
Je tenais mes yeux fermés, imaginant que c’était Jessica.
Quand ille prit ma main et la plaça sur son sexe en érection, je ne pouvais plus me cacher.
Un homme me tenait dans ses bras et les pulsations de ma bite entre ses doigts experts ne laissaient guère de doute sur l’excitation incontrôlée que cela ma procurait.
Je tentai un dernier recours pervers pour me voiler la face : ses baisers avaient le même goût que ceux de Jessop version féminine et toujours yeux clos, je l’imaginais, elle, en train de m’embrasser, de me masturber.
Mais non, il fallait que je l’admette un mec était en train de me branler, de me rouler une pelle et je bandais comme un cerf en rut alors que je tenais sa queue dans ma main !
Totalement amorphe, sidéré, mon cerveau, malgré mon désir de le/la satisfaire, m’interdisait d’agir. Je ne pouvais/voulais pas commettre un geste qui m’enverrait définitivement du côté obscur, ma main restait inerte sur une queue qui ne l’était pas. Mon corps ne partageait pas mes hésitations, il réagissait favorablement à ces sensuelles palpations. Jessica/Jessop me repoussa sur le lit. Nous nous retrouvâmes tête-bêche. Ille ...
... n’eut aucune hésitation et m’emboucha. Je sentais son membre dressé à un petit centimètre de ma bouche. Je serrais les lèvres. Je n’avais jamais pensé qu’une bite puisse franchir, un jour, cette ouverture.
Je retrouvais ces sensations divines que j’avais ressenties lorsque Jessop dans le corps de Jessica me turluter la zigounette. J’entrevis à travers cette bouche qui me pompait la pleine osmose Jessica/Jessop. Ille me procurait tellement de plaisir. De ne pas lui rendre la pareille me mettait mal à l’aise. Mais l’idée de sucer une bite me mettait encore plus mal à l’aise. Je me résolus finalement à ouvrir les yeux et regarder. Ce sexe bandé m’intimidait. Précautionneusement, j’approchai mes lèvres. Pour les retirer immédiatement. J’essayai de me raisonner, d’argumenter avec moi-même. Intellectuellement, je disais oui, mais mes tripes disaient non.
Perdu dans mes contradictions, je m’aperçus trop tard que, sournoisement, ille avait approché son membre. Son gland touchait mes lèvres. Je ne fus pas foudroyé, je n’éprouvais même aucun déplaisir. Bon quand faut y aller, faut y aller ! Ma langue se lança, effleura le méat. Y’a que le premier pas qui coûte, en l’occurrence le premier coup de langue. Le second, bien que timide, lécha sa tête chercheuse. Les suivants se firent plus hardis. Lorsque je posai mes lèvres entrouvertes, mon appréhension avait reflué, surtout que mon pompeur mettait (si j’ose m’exprimer ainsi) les bouchées doubles. Avaler son gland ne fut qu’une formalité ...