Josapha - Histoires de Sexe

Josapha

... longueur.

Après un détour par la salle de bain où nous nous lavâmes mutuellement, sans oublier aucune partie de nos anatomies, nous nous dirigeâmes vers la chambre. J’étais déjà excité par son insistance à me savonner la raie des fesses, puis à la rincer avec la pomme de douche en position massage. Nous sortîmes de la salle de bain pour nous diriger vers la chambre.

Allongé sur le ventre sur le lit, elle versa un lubrifiant sur ma raie des fesses. Il était glacial et me provoqua un frisson, vite dissipé par les caresses de mon amie. Je lui demandai de se mettre à califourchon sur mon dos pour sentir le frottement de ses seins sur mon dos. Elle préféra s’installer entre mes jambes qu’elle ouvrit largement. Elle reprit d’enduire mon œillet, d’abord en le massant, puis en introduisant ses doigts. Ses mains s’attardaient de temps à autre, plus bas, vers mes bourses et mon membre jusqu’à mon gland. Elle attrapa le gode et le trempa dans sa chatte qui ruisselait, puis tenta de l’introduire dans mon anus. Bien que complètement détendu, elle ne parvenait pas à le rentrer en moi.

Je lui proposai de me retourner et de tenir mes jambes contre mon torse. Elle en profita pour me masturber et lécher mes bourses. Elle remit du gel sur mon gland et me massa jusqu’à l’entrée de mon anus, puis reprit d’introduire le gode. Elle écarta largement mes fesses, remit un peu de lubrifiant sur le gode et parvint à introduire ...

... son extrémité. Lentement, elle le poussait tout en léchant mes bourses. Je sentis son souffle chaud. Elle retira le gode, me faisant sentir comme un vide, rapidement comblé à nouveau. À chaque tentative, le gode rentrait de plus en plus facilement. De sa main libre, elle me branlait de plus en plus rapidement. Les mouvements de ses mains étaient coordonnés.

Laissant le gode fiché profondément dans mon rectum, elle attrapa mes jambes pour les allonger. Nos bouches s’unirent et nos langues s’entremêlèrent. Je la sentis s’empaler lentement sur mon sexe. Nos bouches s’étaient soudées et nos corps ne faisaient plus qu’un. Je la sentais particulièrement resserrée, comme lorsque je la prenais juste après qu’elle ait joui. À chaque mouvement de bassin de sa part, le gode s’enfonçait plus vivement.

Lorsqu’elle se redressa, je réalisai qu’elle s’était sodomisée. Elle se masturba pendant que je lui tenais les hanches pour mieux la pénétrer. Je lui envoyai une giclée de sperme qui lui déclencha un orgasme. Nous restâmes un long moment étalés, l’un sur l’autre.

La route du retour

Pour le retour, je lui avais encore réservé une surprise en déballant, avant le départ, une série de trois boules de geisha reliées par une ficelle. Nous les enduisîmes de lubrifiant avant de lui introduire dans le vagin. Pendant tout le trajet de retour, je l’entendis louer les imperfections de la route et la dureté des amortisseurs.