Josapha - Histoires de Sexe

Josapha

Trajet

L’aire de Josapha est située sur l’autoroute de l’Ouest à 148 km de Paris en direction de Caen. C’est une petite aire protégée dès le printemps par une haie de végétation, plutôt transparente l’hiver. Elle est légèrement en contrebas de l’autoroute où les voitures passent à vive allure. À chaque fois que je passe devant, je repense à l’aventure qui m’y est arrivée, il y a quelques années.

Nous étions partis vers la mer après notre cours de tennis du samedi midi ; sans même prendre le temps d’une douche, mais avec quelques aliments faciles à manger en conduisant. Une fois sur l’autoroute, il suffisait d’activer le régulateur de vitesse et de surveiller la route, faiblement fréquentée à cette période de l’année.

En guise d’apéritif, ma passagère trempait des bâtonnets de carotte dans une mayonnaise assez épaisse. Elle accentua le côté provocant de l’opération bien que je ne pouvais l’observer que de brefs instants, gardant les yeux sur la route. Rapidement, la conversation a dérivé vers des propos et des gestes de plus en plus équivoques qui ne tardèrent pas à me faire de l’effet.

Les mains sur le volant, je lui ai demandé de m’aider à disposer verticalement mon sexe qui me faisait de plus en plus mal, plié comme il l’était. Je n’avais pas mis de caleçon pour aller au tennis, mais un slip. Je n’apprécie pas trop la liberté de mon sexe quand je cours et préfère le maintien d’un slip pour éviter les ballotements. Le pantalon de mon survêtement ne disposait ...

... que l’un cordon pour le retenir. Elle n’eut aucune difficulté à le délacer, puis à glisser sa main. Attraper mon membre fut plus délicat. Elle ôta ses bagues pour glisser plus facilement dans mon slip. Je sentis qu’elle en profitait pour me malaxer les bourses, faisant mine de chercher mon membre déjà bien gonflé.

Pour éviter tout accident de circulation, mon amie se gardait bien de m’exciter en permanence jusqu’à me faire éjaculer. Après une heure de route à ce régime, je lui ai demandé de remonter sa jupe de tennis et d’écarter le tissu du short afin de pouvoir glisser un doigt dans son entrejambe déjà mouillé par l’excitation.

La conduite à une main n’étant pas conseillée, je me mis à lui raconter des histoires de ce qu’elle aurait à endurer si je m’arrêtais. Pour illustrer mes propos, parfois, je tenais le volant d’une seule main et aventurais la seconde en sa direction. Les caresses restaient furtives. Pour arriver jusqu’à ses seins, il me fallait passer par son décolleté ou relever son haut, l’exposant, ainsi, aux autres véhicules que nous pouvions doubler. Son soutien-gorge de sport avait le mérite de s’attacher sur le devant : il ne résista pas très longtemps.

Elle se décida à se changer dans la voiture afin de mieux goûter la douceur de mes mains sur son corps. Elle attrapa un tee-shirt plus ample que son maillot de sport et une jupe dans son sac à l’arrière de la voiture. Elle attendit qu’une longue ligne droite lui permît de vérifier que nous n’allions pas ...