Josapha - Histoires de Sexe

Josapha

... mer mélangé à mon sperme à moins que ce ne fût une nouvelle salve de cyprine. Était-ce le résultat de ses précédents orgasmes, mais je la sentais presque ailleurs, résistant à mes assauts, ne lâchant pas prise. Je la savais capable d’avoir plusieurs orgasmes rapprochés.

Sa stratégie était en réalité tout autre : elle devait savoir qu’en prolongeant l’expérience, une vendeuse finirait bien par remarquer le manège. Il en fut presque comme elle l’avait espéré, si ce n’est que la vendeuse qui vint s’enquérir de l’essayage, n’avait pas réellement vu ce qu’il se passait dans la cabine. Elle fut surprise, mais rapidement complice.

Elle rentra dans la cabine et referma le rideau énergiquement. Elle était nettement plus grande que mon amie, d’autant qu’elle était chaussée de chaussures à talons hauts quand mon amie était pied nus sur le parquet de la cabine. Elle prit les seins de sa cliente à pleine main. Puis, elle pinça leur bout tout en parlant à voix haute, comme si elle aidait une cliente à se décider. Elle écarta ma bouche et étira les grandes lèvres de mon amie. Elle recueillait son jus mélangé à ma salive pour masser son sexe en allant jusqu’à l’entrée de son anus. J’étais au premier plan pour suivre les mouvements de ses doigts. Elle s’aventura de plus en plus souvent sur sa rosette et finit par y introduire un doigt puis par entamer un va-et-vient. L’air autoritaire de la vendeuse ne laissait pas place pour une quelconque rébellion.

D’une main ferme, elle ...

... retourna mon amie et me présenta son derrière qu’elle avait préparé pour une sodomie. Celle-ci n’osa se refuser devant la vendeuse, d’autant qu’elle l’embrassa à pleine bouche. Je me redressai et la pénétrai lentement, guidé par la main experte de la vendeuse. Mon amie fut prise en sandwich. La vendeuse se maintint collée à mon amie et lui imprima des mouvements saccadés par des coups de hanches. À chaque coup, je sentais mon sexe rentrer un peu plus profondément. Dans un geste égoïste, je finis par l’inonder sans ressentir si, elle-même, avait éprouvé un plaisir identique.

Sans doute pour me faire pardonner, je lui achetai un très bel ensemble soutien-gorge, string et tanga.

Retour à l’appartement

En retour vers l’appartement, elle me fit part qu’elle n’avait pas apprécié le traitement qu’elle avait subi dans la cabine et qu’elle ne souhaitait pas renouveler l’expérience. J’eus beau argumenter, elle resta sur sa position.

Comme je l’avais pressenti, elle n’avait pas pris son pied dans la cabine. Certes, les caresses de la vendeuse l’avaient bien échauffée, mais elle n’avait pas aimé la sodomie. Elle reconnut ne pas avoir eu mal, mais ne pas avoir, non plus, éprouvé de plaisir.

Afin de mieux la comprendre, je lui proposai de me rendre la pareille. Elle ironisa sur le fait qu’elle ne pouvait le faire, jusqu’à ce que je sorte de ma valise un godemichet que nous avions déjà utilisé dans nos précédents jeux. Il s’agissait d’un objet de diamètre conséquent, mais de faible ...