1. Maud raconte ses souvenirs.


    Datte: 16/02/2020, Catégories: ff, fhhh, grp, jeunes, inconnu, copains, vacances, école, Partouze / Groupe Auteur: Karine2x, Source: Revebebe

    ... futur mari. Alors, si je veux profiter de la vie et m’amuser un peu, c’est maintenant ou jamais. Viens avec moi, à Ibiza. Là-bas, personne ne nous connaîtra, on va pouvoir s’éclater, ni vue ni connue.
    — Tu n’as pas dû être difficile à convaincre.
    — Nous avons acheté nos billets d’avion et nous sommes parties à l’aventure. Nous avons sympathisé avec un couple de jeunes qui nous ont conduits dans leur club de vacances. Nous avons pu trouver une petite chambre en allumant le responsable, un bel hidalgo de 50 balais. Géraldine lui a fait comprendre que s’il s’arrangeait pour ne pas nous faire payer, nous pouvions être très, très gentilles avec lui.
    — Mais, Maud… (Je suffoque indignée) c’est de la prostitution !
    — Mais non ! s’esclaffe-t-elle. Il aurait fini dans notre lit même s’il n’avait pas eu le pouvoir de nous rendre service. Il était un peu vieux pour nous, d’accord, mais il était vachement séduisant, bien bronzé, pas un poil de bedaine, un sourire ravageur à la Julio Iglésias, un vrai tombeur, pas du tout le look pervers pépère de notre voisin aux grandes oreilles.
    
    Oh, punaise, le papy va avaler son dentier… il nous regarde, tout rouge, va-t-il se fâcher ?
    
    — Et surtout il avait un gros savoir-faire, ajoute-t-elle avec un grand sourire et un clin d’œil salace à Bidochon qui du coup semble se calmer.
    — Ça, tu ne l’as su qu’après, ma cocotte…
    — Tout de suite après, dans la chambre. Ce qui nous a rassurées pour nos débuts, c’est qu’il nous voulait toutes les deux ...
    ... à la fois. On l’a vite épuisé, ajoute-t-elle en riant.
    — À 50 ans, avoir deux nymphos dans son lit ! Vous auriez pu le faire crever.
    — Penses-tu ! C’était un bon. Pas du genre à avoir besoin de Viagra, lui ! (nouveau clin d’œil vers Bidochon qui dégoûté par cette attaque à sa virilité se lève et nous quitte sans un regard.) Résultat, continue Maud, nous changions de chambre sans arrêt, au gré des trous du planning mais nous n’avons jamais rien payé.
    — Je ne sais pas si je dois te féliciter.
    — Tu peux, c’était un club super avec une ambiance très cosmopolite, tout le monde vivait la nuit et ne pensait qu’à faire la fête. Reste assise, Karine. En quinze jours, j’ai dû me taper une cinquantaine de mecs.
    — Mais… (Je calcule horrifiée)… Maud, ce n’est pas possible, ça fait plus de trois par jour !
    — Ça va vite, Karine, explique-t-elle en riant de mon indignation. Entre elle et moi c’était presque une compétition. Au début, on s’était fait piéger, on avait suivi un mec rencontré en boîte soi-disant dans une soirée privée et on était tombé sur une véritable partouze.
    — Vous ne vous êtes pas enfuies ?
    — On était scotchées. Géraldine a été traînée vers un lit par un grand blond tout nu un peu plus rapide que les autres. Moi, j’hallucinais devant le spectacle. Cela baisait dans tous les coins. Comme les filles à l’œuvre avaient l’air de prendre beaucoup de plaisir, je me suis dit : "Merde, je ne vais pas me contenter de regarder, je peux bien faire ça une fois dans ma vie."
    — ...
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