1. Maud raconte ses souvenirs.


    Datte: 16/02/2020, Catégories: ff, fhhh, grp, jeunes, inconnu, copains, vacances, école, Partouze / Groupe Auteur: Karine2x, Source: Revebebe

    ... quelques soupirs suggestifs et j’ai écouté ma voisine me chuchoter à voix basse :
    — Dis-toi bien, Karine qu’à l’époque, il y a 15 ans, dans ce genre de pension, c’était la galère. Nous étions censées être de vraies jeunes filles et le sexe était un sujet tabou. Tout était filtré, censuré. Pas question de lire une revue ou un bouquin décrivant un tant soit peu une relation sexuelle. J’étais donc ravie de faire parler une fille qui avait de l’expérience.
    — Maud, arrête ! Tu me racontes des salades, tu n’avais rien à apprendre. Tu n’étais plus vierge depuis longtemps.
    — Pas depuis longtemps. J’avais une vie très orthodoxe à l’époque.
    — Admettons.
    — Tu ne me crois pas ? Cela s’était passé dans une 205, l’été d’avant, je ne te dis pas le confort ! explique-t-elle avec un petit rire. Mon amoureux au moment crucial m’avait sorti de la boîte à gants tout un stock de préservatifs.
    — Tu t’étais fait piéger, ma cocotte.
    — Oui et alors ? s’exclame-t-elle en haussant le ton, attirant l’attention de notre voisin, un papy rondouillard et rougeaud plongé dans un journal de Turf et en train de noter des numéros avec un crayon. À 17 ans, c’était temps, non !
    — Si tu le dis.
    — Bon j’en reviens à cette fille. À un moment, elle m’a demandé si j’aimais me faire lécher. Je lui ai répondu que je n’avais jamais eu droit à ce traitement de faveur dans la 205 de mon copain. Cela l’a surprise : « Tu ne t’es jamais fait lécher la chatte ? C’est top, tu vas voir, je vais te le faire ».
    
    Je ...
    ... jette un coup d’œil furtif au papy qui ne perd plus rien de notre conversation et qui paraît pétrifié.
    
    — Karine, pourquoi aurais-je refusé ? Tu sais, dans ce genre de pensionnat c’est courant.
    — Ah ?
    — Les filles qui n’ont pas de tabous au lieu de se caresser seule, le font à deux. C’est quand même mieux.
    — Ben, euh… effectivement.
    
    Il va en avoir des choses à raconter à Bobonne, ce gros papy,… il me fait penser à Bidochon. Il a le même look.
    
    — Cela ne veut pas dire qu’elles soient lesbiennes, c’est faute de garçons. Ce n’est pas compliqué à comprendre.
    — Je ne dis rien. J’ai capté. Continue.
    — Elle m’a allongée sur le carrelage froid, m’a remonté ma chemise de nuit et je me suis retrouvée avec sa tête entre mes jambes. Je te fais un dessin ?
    — Décris-moi quand même un peu la scène.
    
    Bidochon pourra me dire merci.
    
    — Si tu veux. J’avoue que mon cœur battait la chamade, et que j’étais plutôt crispée, mais elle me tenait fermement par les hanches, je ne pouvais pas me soustraire, ni crier bien sûr. Tu t’imagines si une surveillante s’était pointée ?
    — Cela aurait pu être une surveillante lesbienne.
    
    Maud hausse les épaules et embraye.
    
    — Quand elle a attaqué mon bouton, j’ai perdu toute résistance, j’ai fermé les yeux, j’ai ouvert mes cuisses en grand et je me suis laissée aller. Elle a écarté ma vulve pour faire saillir mon clito et elle a commencé à le sucer et à le téter. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil, je le sentais grossir, gonfler à chaque ...
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