La transgression
Datte: 15/02/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
bizarre,
hotel,
dispute,
revede,
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
portrait,
Auteur: Lignière, Source: Revebebe
... taille et l’avais serrée contre moi. J’attendais sa réaction, mais elle n’avait pas fait un geste de défense. Enhardi, j’avais alors défait trois boutons sous la taille pour dévoiler son slip qu’elle m’avait encore interdit de baisser. Je connaissais la marche à suivre. Elle s’était appuyée le mur, les bras tendus, les mains bien à plat, le corps cassé vers l’arrière, les pieds écartés. Je l’avais prise, sans aucune caresse préparatoire, violemment, sans retenue. Elle avait poussé un cri, j’avais aussi ressenti la douleur de pénétrer un vagin pas encore humidifié. Mais qu’importe, j’avais commencé mes mouvements du bassin, puis introduit un doigt dans son anus et accéléré le tempo. Son souffle s’était fait plus bruyant, son bassin s’était agité de façon convulsive, j’avais senti son sexe s’humidifier, son odeur monter et je l’avais sentie jouir. Comme la première fois, je m’étais retiré au dernier moment et j’avais éjaculé sur ses lèvres, dans ses poils, à l’intérieur de son slip. Ayant repris sa respiration, elle avait sorti de sa robe une pochette de mouchoirs en papier, m’en avait tendu un, et avec le reste avait tapissé le fond de sa culotte. En la regardant faire, j’avais alors compris que cette scène n’était nullement improvisée mais bien au contraire avait été bel et bien préméditée. Elle avait profité du départ impromptu de Jean-Claude, pour faire plaisir aux enfants et s’accorder un moment privilégié.
Notre troisième et dernière rencontre s’est déroulée dans ...
... des conditions toujours aussi inconfortables et improbables. Elle faisait tout pour provoquer le risque d’être surprise, pour mettre en péril son couple ou le mien. Elle ne respectait plus aucun code et transgressait toutes les règles. Pour le quatorze juillet nous avions tous été invités dans sa maison familiale, près d’Angoulême, où sa maman vivait seule. Le soir du bal des pompiers nous étions allés à Fleurac et avions dansé tout notre saoul. Le samedi, après avoir découvert les merveilles archéologiques des environs, nous avions passé un long moment à table pendant que les enfants maraudaient les cerises dans le verger voisin. Dès le dimanche matin, Annick avait organisé la journée de chacun.
— Maman, veux-tu que Jean-Claude te conduise à la messe ?
— Jean-Claude, maman veut que tu la conduises à la messe.
— Anne, vous devriez accompagner maman. L’église est très belle et vous allez être surprise par le discours du curé. Louis va faire la vaisselle et s’occuper des enfants. Moi je dois m’habiller et faire les chambres.
— Les enfants je ne veux pas que vous alliez dévaster le potager, restez dans la cour et n’entrez pas dans la maison, je vais faire le ménage.
Chacun avait reçu son rôle, il suffisait que de s’exécuter. Les enfants s’étaient égayés dans la prairie attenante, je voyais s’éloigner la voiture de Jean-Claude et j’avais entendu ses pas résonner dans l’escalier qui menait aux chambres. Deux minutes plus tard, je l’avais rejointe dans la salle de bains ...