Dans les écuries
Datte: 15/02/2020,
Catégories:
fh,
ff,
grossexe,
grosseins,
fsoumise,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
fouetfesse,
historique,
historiqu,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... lingère, qui gémit sans vergogne en cambrant les reins. Le valet s’empare alors des rênes, et la force à se mettre à quatre pattes sur le sol. Il l’enjambe et s’assied à califourchon sur elle, sans lâcher les rênes. Excitée par le spectacle de cette femme plantureuse harnachée comme une pouliche et chevauchée par cet homme au sexe dressé, Caroline prend la main de sa soubrette et la force à caresser son bouton avec énergie. La lingère leur offre maintenant la vision de sa croupe, de sa vulve écartelée par les liens de cuir, de ses gros seins lourds qui balancent. Le valet tire sur les rênes, la force à rejeter la tête en arrière et cambrer encore davantage les reins. Elle gémit plus fort lorsqu’il commence à passer le bout du manche de la cravache entre ses fesses, puis entre les lèvres de son sexe. Lorsque le valet accentue l’intromission, le manche s’enfonce sans difficulté dans le sexe trempé. Il l’abandonne, fiché dans son sexe, il se relève et va s’accroupir devant le visage de la lingère qui le regarde avidement, comme pour lui communiquer par le regard l’envie qu’elle ne peut exprimer par des mots. Il se saisit de son pénis, et commence à se branler. Le mors empêche Denise de faire ce qu’elle voudrait : sucer ce magnifique phallus et l’enfoncer au fond de sa gorge : elle souffre de désir inassouvi. Le valet le sent, il prend un moment plaisir à lui passer son sexe sous le nez sans cesser de le branler. Mais pour lui aussi, le désir est le plus fort. Il lui ...
... enlève le mors. Aussitôt, Denise laisse s’exprimer ses désirs :
— Oui, laisse-moi sucer ta grosse queue. Donne-la-moi.
— Tiens, suce ! Tu m’excites, avec cette cravache enfoncée dans ta fente.
— Ouii, c’est bon. Tu sais que j’adore ça, hein ? Mais j’aime encore plus sentir ton gros chibre me dilater la chatte.
— Patience, tu sais bien que je vais te le mettre. Mais moi j’aime bien que tu me suces à fond.
Denise s’applique en engloutir le pénis imposant de son partenaire. Il est si gros qu’elle a mal à la mâchoire. Quand il s’enfonce au fond de sa gorge, elle peine à respirer et manque étouffer. D’une main, elle lui triture les testicules. Il semble apprécier la caresse. Elle s’enhardit à serrer les boules, à les malaxer, sans cesser ses mouvements de bouche sur le sexe dressé.
Le valet n’en peut plus. Il se relève, vient s’accroupir derrière elle. Il retire la cravache, et place son gland contre le sexe trempé. La lingère donne un grand coup de reins pour le faire pénétrer, et commence à ruer. Il la prend par la taille pour lui imprimer le rythme d’un coït intense, presque brutal. Ses grands coups de reins font trembler ses jolies fesses, font balancer presque violemment ses gros seins. Elle gémit, implore son partenaire :
— Oui, tu me défonces, tu me fends, tu me combles. Oh !
— Tu aimes ça, hein, mon gros sexe !
— Oui, j’aime ça, continue, empale-moi.
— Et mon doigt dans le cul, tu aimes cela aussi ?
— Oh, oui, viens, tu me tues. Oh mets-le-moi, oui, ...