Dans les écuries
Datte: 15/02/2020,
Catégories:
fh,
ff,
grossexe,
grosseins,
fsoumise,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
fouetfesse,
historique,
historiqu,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... Tu le connais ?
— Je pense savoir de qui on parle…
— Qui est-ce ?
— Vous le découvrirez bien assez tôt. Mais, en parlant de cheval, voulez-vous que je vous montre quelque chose ? Venez, suivez-moi.
Elodie se libère, rajuste ses jupons et son corsage, et prend la main de Caroline. Elle la guide vers les écuries. La nuit est tombée. Les deux femmes avancent dans la pénombre. Caroline retrouve avec plaisir l’odeur de cuir mêlée à celle du foin et celle des chevaux. Elodie la mène dans le local de sellerie. Elle s’approche d’une selle posée sur un banc, la caresse. Elle chuchote à l’oreille de sa maîtresse :
— J’aime beaucoup cet endroit. Je trouve tous ces harnais, ces lanières, ces fouets, tout ce cuir très excitants. Regardez cette selle : n’est-ce pas un bel objet ?
Ce faisant, elle soulève ses jupes, enfourche la selle, et commence à onduler des hanches. Caroline s’écarte pour mieux la voir dans la demi-pénombre. Sa soubrette frotte son entrejambe sur le cuir luisant de la selle. Son souffle s’accélère, signe de son excitation. Sans lâcher ses jupes, qu’elle serre sous ses coudes, elle dénude sa poitrine, et prend ses seins. Sans dire un mot, elle offre à sa maîtresse le spectacle de son plaisir solitaire.
Excitée par la scène, Caroline soulève à son tour ses jupes, pour se toucher le sexe. À ce moment, on entend du bruit dans la cour, deux personnes qui parlent et s’approchent. Elodie fait signe de faire silence, se relève et entraîne Caroline dans le fond de ...
... l’écurie. Dissimulées dans le tas de foin, elles attendent. Elles voient alors, éclairés par la lueur d’une lanterne, le valet au sexe imposant et une femme que Caroline n’a pas encore vue pénétrer dans la sellerie. Comme dans un rituel bien rôdé, sans plus échanger un mot, l’homme accroche la lanterne à un clou, la femme laisse tomber ses vêtements à ses pieds. Caroline chuchote :
— Qui est-ce ?
— C’est le valet, celui que nous avons rencontré ce matin dans le couloir. Et elle, c’est Denise la lingère.
— On dirait qu’ils ont l’habitude de venir ici le soir.
— Oh oui, ils viennent très souvent.
— Et toi, tu viens souvent les observer ?
— Je trouve cela très excitant.
— Est-ce qu’ils vont faire l’amour ?
— Bien sûr, c’est pour cela qu’ils viennent, mais regardez plutôt, le spectacle en vaut la peine !
Caroline observe la lingère : Denise est un peu plus âgée que les deux jeunes filles, et a noué ses cheveux blonds en chignon. Elle a un corps plantureux. Sans être grasse, elle est musclée et massive, et son corps n’est que courbes et volumes. Sa peau est pâle, la lueur blafarde de la pleine lune accentue encore son blanc laiteux. Ses gros seins blancs sont couronnés de petits tétons roses. Elle pose ses deux mains contre le mur et semble attendre que son compagnon achève de se dévêtir. Sa position, appuyée au mur, les cuisses légèrement écartées, accentue la courbure de sa croupe ronde et ferme. Son compagnon est maintenant nu, et son sexe commence à se redresser. ...