Dans les écuries
Datte: 15/02/2020,
Catégories:
fh,
ff,
grossexe,
grosseins,
fsoumise,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
fouetfesse,
historique,
historiqu,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... est-elle ?
— À vous de chercher !
— Donne-la-moi.
— Venez la prendre !
— Allons, arrête, petite vicieuse, où est-elle ?
— Je la garde bien enfouie dans mon corsage, entre mes seins. Vous la voulez ?
Elodie lui sourit. Son regard pétille de malice. Elle est décidément très friponne, mais comment lui résister ? Caroline se laisse prendre au jeu. Elle attrape sa servante, qui se débat faiblement en riant. Elle la pousse sur le lit, s’accroupit à califourchon sur elle pour l’immobiliser, et dénude sa poitrine insolente. Elle ne peut résister à la tentation de s’emparer de ses seins magnifiques et de commencer à les masser. La soubrette ferme les yeux, et savoure sa victoire. Lorsque sa maîtresse lui effleure le bout des seins, tout son corps frémit de plaisir. Lorsqu’elle les fait rouler entre ses doigts et les étire pour les faire durcir, elle croit défaillir. Lorsqu’elle sent le bout de la langue de Caroline forcer ses lèvres, elle les entrouvre pour l’accueillir. Elles se font des langues, elles s’embrassent, se mordillent, mêlent leur salive.
Caroline se relève :
— Mais où est la lettre ?
— Peut-être est-elle tombée, peut-être est-elle descendue plus bas ?
— Décidément, tu es incorrigible.
— C’est le prix de votre curiosité. Allons, cherchez plus loin, et vous la trouverez.
Caroline lui relève les jupons. L’odeur chaude de son sexe est prenante. Elodie est excitée. Caroline résiste à l’envie de se pencher sur cette moule attirante, et s’empare de la ...
... lettre coincée sous la ceinture du jupon. Elle l’ouvre et la lit
Ma très chère Amie,
Comme vous me l’aviez demandé, j’ai reçu votre fille. Je n’ai pu résister à l’envie de pousser l’entretien plus avant. Votre fille est délicieuse. Vraiment. Vous vous méprenez sans doute sur son état d’innocence. Elle est certes encore jeune, et a le goût frais des fruits encore un peu verts. Mais elle a des aptitudes remarquables. Sans doute a-t-elle hérité de vous l’attrait pour les choses du sexe. C’est avec grand plaisir que je poursuivrai, si vous le souhaitez, son éducation.
Quant à votre servante, Elodie, elle est délicieusement vicieuse, et je ne peux m’empêcher de vous jalouser : vous avez là une perle à ne pas lâcher. Mais j’imagine que vous en faites vous-même bon usage, et que ses qualités n’ont plus de secrets pour vous.
Merci pour le merveilleux cadeau. J’ai hâte d’en expérimenter l’agrément. Me ferez-vous le plaisir de partager avec moi cette expérience ?
Votre dévouée et tendre amie.
Je vous rappelle que mon étalon est à votre disposition chaque fois que vous le jugez nécessaire.
Caroline replie la lettre et la remet dans l’enveloppe. Elle s’interroge sur le sens de la dernière phrase. Elle se doute que Mme de Marans n’évoque pas un cheval, mais plus vraisemblablement un homme bien membré. Son mari ? Son fils ? Un de ses domestiques ?
Elodie devance sa question :
— Vous vous demandez sans doute qui est cet étalon qui est évoqué à la fin de la lettre ?
— ...