Je te rêvais et tu existes
Datte: 28/03/2018,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
journal,
coupfoudr,
amourpass,
Auteur: Patsy, Source: Revebebe
... mais je n’ai jamais vécu de tels voyages, ceux qui vous transportent ainsi aux sommets les plus culminants de la jouissance et du bien-être. Enfin naît la femme en moi. Je me sens passionnellement femme avec Patrick ! Il s’est imposé à moi dès les premiers jours, comme une évidence. C’était LUI ! « Oui c’est TOI, TOI, TOI et non pas un autre que je vois… »
— Heureusement que tu ne passes pas trop de temps avec moi, je pourrais te rendre vraiment folle, encore plus, plus, plus… m’a-t-il dit un jour.
Mais jusqu’où ? Je ne sais pas mais j’irai.
— Qui sait tout ce qu’il y a dans ma tête ? Tu devras être dingue pour rester avec moi… J’ai envie de tout faire avec toi… Tu chamboules ma vie… Tu es un petit bout de femme qui m’étonne chaque jour un peu plus… Je te rêvais et tu existes… Je suis tombé sur toi, tu aimes tout ce que j’aime, sexuellement et plus… (En cédant au coup de foudre) On a joué et maintenant les sentiments sont là, notre folie aussi et tellement d’autres choses…
Ses mots résonnent dans ma tête, cognent contre mon cœur !
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Flottant dans mes pensées, je m’offre le plaisir de douces caresses (des papouilles comme dit Patrick) sur tout son corps, sa tête, ses cheveux, son visage, son cou, son torse, ses bras… Mes mains glissent partout, mes doigts, du bout des ongles, le parcourent sensuellement, délicatement… sans jamais s’interrompre, à la cadence de mes pensées. Il se retourne et me propose son dos. Ah, son dos ! Il aime les ...
... caresses, manuelles ou buccales, qui s’y égarent du sillon de ses fesses jusqu’à son cou. Il ne bouge pas.
— Tu dors ?
— Oh non… presque, mais non ! C’est bon ! Allez, debout, on fait une trêve. Tu me fais un petit café avec un petit chocolat ?
— Oui, mais attends un peu. Je finis d’abord ma gourmandise, mon chocolat à moi.
Je n’ai pas envie de m’arrêter et j’embrasse une dernière fois son corps jusqu’à ses pieds et… Hop debout ! Un petit café, un chocolat (son meilleur ami, dit-il ? Pas sûr !) dont sa bouche m’offre la moitié… Si, si, on partage tout. Enfin, j’aimerais bien…
Déjà, l’heure est venue de se quitter et, pour lui, de se rhabiller. Il ne se presse pas pour autant… Il y en a partout, un ouragan semble s’être abattu dans la pièce ! Mais avant qu’il parte, j’ai une petite chose à essayer :
— Cale-toi là, dos au mur, sur le canapé, une jambe étendue dessus. Tu veux bien ?
— Pourquoi ? demande-t-il en s’y installant, éveillé par la curiosité ou songeant à une ruse de ma part pour le faire rester quelques minutes de plus.
— J’ai juste besoin de vérifier quelque chose.
Je m’assieds entre ses jambes, dos à lui.
— Non, là ce n’est pas crédible, je ne suis pas assez calée contre toi.
Sans le savoir, il exécute les gestes que j’ai décrits dans un précédent récit dont il n’a pas encore pris connaissance. Il me saisit de ses bras puissants et me plaque sur lui, mes fesses tout contre son sexe. Puis, toujours conforme à mon récit, sa main gauche passe ...