Je te rêvais et tu existes
Datte: 28/03/2018,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
journal,
coupfoudr,
amourpass,
Auteur: Patsy, Source: Revebebe
Un gîte, une maisonnette perdue dans la campagne… C’est le nid qu’on a choisi pour abriter nos ébats, nos amours, nos désirs, trop longtemps contenus.
Des échanges érotiques sur Skype avaient déjà fait monter la fièvre la veille, jusque tard dans la nuit. Ces échanges virtuels ont, depuis notre première rencontre, tissé les fils de notre histoire, alimenté nos désirs les plus fous et ce, dès l’irruption du coup de foudre unique, incroyable, qui a chamboulé nos vies ! Et je ne parle pas du mythique coup de foudre purement physique, sexuel, qui disparaît aussi vite qu’il est survenu. Non, la foudre en nous s’abat chaque jour un peu plus !
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Voici comment tout a commencé. C’était un quinze août ensoleillé, dans le cadre d’un site de loisirs propres à faire monter l’adrénaline, comme une balade en quad, sportive et sinueuse. Une alchimie s’est opérée entre Patrick, le moniteur, et moi. Il m’a lancé ses premières décharges électriques avec quelques mots échangés (purement professionnels !) lors des arrêts-conseils pendant le parcours, peut-être plus fréquents que nécessaire, ainsi qu’avec ses sourires et les éclats de ses yeux pourtant à demi-cachés derrière ses verres teintés… Pour ma part, j’ai su peu après que mon sourire, mon optimisme et mes seins l’avaient atteint. Une, deux balades plus tard… Une photo de moi au sommet d’une dune (prise avec son portable) deviendra prétexte à une reprise de contact. Le téléphone portable a donc été depuis le début ...
... d’une importance insoupçonnée pour tisser un lien intime, très intime !
— T’aimes bien bavarder par texto ? m’a-t-il demandé dès nos premiers échanges (cette technologie-là fait aujourd’hui partie de notre couple !)
— Bof, pas trop. Tu sais, si je pouvais, des fois je balancerais le téléphone par la fenêtre !
— Ah dommage, moi j’aime beaucoup…
Et de fait, c’est par textos que nous avons vraiment, intimement, fait connaissance : avec des petits jeux « quand je dis ce mot, tu penses à quoi ? », « défauts-qualités », rêves, frustrations, vies passées… jusqu’aux fantasmes, jusqu’aux histoires érotiques qu’il me susurrait à m’en faire jouir !
— Écoute, je vais te raconter une petite histoire, a-t-il murmuré un soir, charmeur.
J’étais dehors, étendue sur l’herbe éclairée par une faible lumière propice à l’évasion. Il m’a transportée dans un plaisir érotique jamais éprouvé.
— Vas-y caresse-toi… Je ne parle pas fort mais je veux t’entendre, je veux t’entendre hurler… Jouis pour moi.
Ma jouissance s’est élevée, j’ai crié, j’ai joui follement… Tant pis pour les voisins du dessus !
Ainsi, des centaines d’heures, suspendus à nos portables, et des milliers de textos ont fait naître en nous un besoin irrépressible de se rencontrer… non pas virtuellement mais avec un vrai rendez-vous, notre premier rendez-vous intime. Ce jour venu, j’étais morte de trac ! Cela ne m’était jamais arrivé depuis des années, celles de mon adolescence ! J’étais complètement folle d’aller ...