Le bonheur d'être mère
Datte: 28/03/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
double,
Partouze / Groupe
yeuxbandés,
confession,
couple+h,
entrecoup,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... me mettre nu. J’ai trente ans, mais je suis comme un adolescent devant sa première femme. Il est vrai que je connais Véronique depuis si longtemps que j’ai oublié le jeu de la séduction et du sexe entre adultes consentants. Donc c’est elle qui se charge de tout.
Elle me pousse contre le lit et s’agenouille devant mon sexe, qui pour l’instant reste bien au repos sur ses testicules. Elle le flatte d’une main pendant que l’autre se promène, glissant dans l’aine pour sentir le velouté de l’intérieur des cuisses, revenant pour jouer avec mes couilles. J’espère qu’elle apprécie la douceur de la peau sans aucun poil disgracieux car Véro et moi avons passé une bonne partie de la soirée d’hier à nous épiler, jusque dans les moindres recoins. Elle m’a même nettoyé le sillon des fesses en disant :
— Il n’y a pas de raison que tu ne fasses pas comme moi.
Mais, ma verge reste désespérément molle malgré les sollicitations de la femme. Même bien au chaud dans sa bouche, elle refuse de bouger. Petit à petit, je suis mal à l’aise et je sens venir le moment fatidique que chaque homme appréhende. La panne. La honte. Le moment où la partenaire abandonne.
Voilà, elle se redresse pour s’asseoir à côté de moi. Et je prononce les paroles que chacun redoute et a déjà entendu à la télé ou au ciné et qui font sourire.
— Je ne comprends pas. Cela ne m’est jamais arrivé. Ce n’est pas de ta faute, tu es désirable, mais…
Elle va répondre. Je sais ce qu’elle va dire :
— Ce n’est rien. ...
... Cela arrive. Je comprends.
Mais non, elle se lève et dit.
— Viens, je sais ce qu’il te faut. Habille-toi. Non, pas de slip. Juste la chemise et le pantalon.
Elle-même passe sa robe directement sur le corps. Elle m’entraîne. Nous faisons le chemin en sens inverse. Arrivés devant ma maison, elle me demande d’ouvrir doucement et de ne pas faire de bruit. Personne en bas, nous montons les escaliers. D’un geste, elle me demande où est ma chambre. La porte n’est pas fermée. Elle la pousse doucement, passe la tête et m’invite d’un geste.
Véro nous tourne le dos, à quatre pattes sur les jambes de son amant, allongé sur notre lit. Son corps cache son visage mais les mouvements de la tête sont caractéristiques de la fellation. On l’imagine suçant ou léchant le sexe de l’homme, sa langue courant du méat aux couilles. Elle monte et descend sur la queue, absorbant le gland et la hampe. Sa croupe est ouverte à notre regard, même si elle frotte sa moule sur le genou de l’homme qui fléchit sa jambe pour favoriser la caresse. Son sillon brille de sa jouissance et de traces de sperme. Manifestement Fabrice s’est déjà répandu dans ma femme. Véronique s’efforce donc de le rendre à nouveau bien dur pour une seconde fois. Brave petit soldat, et je ne peux pas lui en vouloir si manifestement elle se prend au jeu.
D’ailleurs, elle se relève pour se placer sur le mandrin qui apparaît maintenant dans sa main. En appui sur les pieds, les jambes fléchies, elle guide le gland dans sa fente ...