1. Le bonheur d'être mère


    Datte: 28/03/2018, Catégories: fh, fhh, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral double, Partouze / Groupe yeuxbandés, confession, couple+h, entrecoup, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    C’est exactement comme ils l’ont raconté. Un long couloir avec une lumière blanche au fond. Une lumière chaude, palpitante, rassurante et sans que je ne fasse le moindre mouvement, je flotte vers elle. Je suis calme, sereine, la paix dans l’âme.
    
    — STOP.
    
    Soudain, un homme, un ange peut-être, me fait face.
    
    — Véronique Dumezier ?
    — Euh, oui.
    — Mariée depuis trois ans ?
    — Oui.
    — Pas d’enfant ?
    — Non.
    — Alors, c’est ici. Et il me montre un chemin, plutôt un long couloir gris.
    
    Je comprends que je n’ai pas droit au Paradis, au Walhalla, au club cinq étoiles.
    
    — Mais pourquoi ? Je me suis toujours bien comportée. Enfant sage, femme fidèle…
    — Peut-être, mais pas d’enfant. Une femme en âge de procréer doit avoir un enfant.
    — Mais, avec mon mari nous voulons un enfant, mais nous n’y arrivons pas. Ce n’est pas de ma faute.
    
    Il répète.
    
    — Une femme en âge de procréer doit avoir un enfant.
    
    Et sans avertissement, je glisse sur le chemin indiqué. Je pense :« même ici l’administration sévit ». Je butte contre une porte qui s’ouvre et je me retrouve dans un espace sans cloison ou avec des murs si loin que je ne peux pas les voir.
    
    La seconde suivante, un homme me fait face. Décidemment c’est le genre de la maison d’apparaître comme par miracle. Mais quand je dis un homme, c’est plutôt un singe, genre Cro-Magnon, poilu, hirsute.
    
    — Véronique Dumezier ?
    
    Mais il parle !
    
    — Oui, c’est moi.
    — Pas d’enfant ?
    
    Ça recommence.
    
    — Non, mais ce n’est pas…
    — ...
    ... Silence. Tu es ici pour apprendre. On va t’apprendre comment on fait les enfants. Madame fait la fine bouche. Allez, penche-toi.
    
    Alors je remarque son sexe qui se sépare de sa fourrure. Énorme, gros, long, des poils tout le long de la hampe avec un gland gros comme un poing.
    
    Malgré ma terreur j’obéis et m’appuie sur un pieu qui vient d’apparaître. Ce pieu semble fait de chair, il palpite. C’est en réalité une énorme verge et mes deux mains qui s’appuient, ne recouvrent même pas la moitié du gland. Une douleur fulgurante me saisit au bas-ventre. Il doit essayer de rentrer. Je suis trop étroite. Idiote, aucune femme ne pourrait accepter la queue de ce primate. Je ne sens plus rien. Il a dû renoncer. Je sens sa fourrure contre mon dos. Je tourne la tête. Il est plaqué contre moi. Mais alors… ?
    
    Son sexe ? Où est son… ? Impossible ! Il bouge et alors, je sens. Oh oui, je sens dans mes entrailles, je le sens dans mes entrailles. J’ai mal. C’est bon. Il va si fort que mes pieds décollent du sol, suspendue dans l’air sur sa queue monstrueuse, les mains et la tête en appui sur la bite d’amarrage. Elle aussi bouge. Une goutte sort du méat. Une goutte en proportion de l’objet. Une balle de tennis.
    
    — BOIS.
    
    Impossible de ne pas obéir. Pendant que je m’y efforce la goutte se transforme en une fontaine, une fontaine de sperme qui monte et retombe sur ma tête, me recouvrant de ce liquide épais et gluant. Il coule sur mon visage, m’étouffe. Je cherche ma respiration alors que je ...
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