1. Le bonheur d'être mère


    Datte: 28/03/2018, Catégories: fh, fhh, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral double, Partouze / Groupe yeuxbandés, confession, couple+h, entrecoup, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... Elle crie un peu, encore toute fripée et sa peau sombre se détache de mon ventre laiteux. Sa peau sombre, non pas vraiment, plutôt café au lait. Mais ?.. Quoi ? Café au lait ?.. Ce n’est pas possible !… Clara qu’as-tu fais ?.. Qu’avons-nous fait ?.. Un noir ?.. Tout le monde va savoir !… Et mon mari qui me sourit, l’air idiot ! Il est aveugle…
    
    — Réveille-toi, Chérie. Axelle pleure, c’est l’heure. Il faut que tu la nourrisses.
    
    Merci, mon Dieu. Quel affreux cauchemar. Encore ensommeillée, je vais dans la chambre du bébé, prends ma belle petite fille dans mes bras et la seconde d’après sa bouche trouve le sein gonflé de lait.
    
    Pendant qu’elle tète, j’essaye de me souvenir de ce rêve si étrange. Où est-ce que j’ai bien pu trouver, cette histoire de paradis perdu avec ces hommes de Cro-Magnon, de libertinage avec les voisins, de stérilité d’Hugo ? Mais surtout, comment ai-je pu imaginer avec tant de détails cette séance de sexe avec deux hommes ? J’ai le souvenir de chaque moment, de chaque position, presque de la jouissance ressentie.
    
    Par contre, je sais pourquoi j’ai imaginé ma fille couleur métisse.
    
    Pendant le sixième mois de ma grossesse, je suis restée à la maison et j’ai eu l’occasion de faire connaissance de l’homme chargé de l’entretien des espaces verts de la résidence. Un bel homme, fort, viril que la chaleur étouffante oblige à travailler torse nu et en short. Il a accepté le verre d’eau fraîche que je lui ai proposé, et un instant, dans ma cuisine, ...
    ... j’ai entrevu la bosse que son sexe formait dans son short.
    
    Des jours qu’Hugo me négligeait de peur de blesser l’enfant avec sa queue. Et je sais qu’à cet instant j’ai fantasmé sur le sexe de cet homme que j’imaginais me pénétrer et me donner du plaisir. Un sexe dur, grand, beau, d’un noir d’ébène avec un beau gland rosé. Enfin un sexe d’homme noir comme une ménagère peut en imaginer.
    
    Lorsqu’il est allé reprendre son travail, j’ai senti combien cette vision m’avait excitée. Mon sexe était tout humide, mon bouton sensible. Quand à mes mamelles déjà gonflées par ma grossesse, les pointes frottaient sur le tissu de ma robe. C’est allongée sur mon lit, après m’être déshabillée que je me suis caressée jusqu’à la jouissance. Les yeux fermés, j’imaginais ce sexe que je prenais en bouche et qui grossissait encore sous les caresses de ma langue et de mes lèvres. Son gland déformait ma joue, ne pouvant pas le faire entrer plus loin tellement il était gros et long. Puis je l’abandonne pour me placer en cavalière et le présenter à l’entrée de ma fente. Doucement je descends sur ce pieu de chair qui dilate mon fourreau, le remplit, le comble. Enfin il est tout en moi, ses grosses bourses buttent contre mes fesses. J’ondule pour frotter mon clito sur son pubis. C’est bon, je…
    
    Elle s’est endormie, contre moi, repue.« Allez, mère indigne, va coucher ta fille et retourne dans le lit conjugal », pensé-je. À propos de lit conjugal, peut-être qu’Hugo ne s’est pas rendormi ? J’ai envie de… 
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