1. Le bonheur d'être mère


    Datte: 28/03/2018, Catégories: fh, fhh, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral double, Partouze / Groupe yeuxbandés, confession, couple+h, entrecoup, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... jambes de part et d’autre de son bassin et le sexe, maintenant rigide et brillant de ma salive, trouve le chemin déjà familier de ma grotte. Rien ne compte plus. Je suis en feu et il faut éteindre l’incendie. Je me cambre, me dresse pour que sa queue frotte mon vagin et que ses mains remplacent celles de sa femme. J’oublie tout. Je monte et descend pour me baiser avec violence. Une main stoppe mes mouvements, me force à me pencher sur la poitrine de Fabrice. Il m’embrasse à pleine bouche, sa langue joue avec la mienne. Nous échangeons nos salives. Je sens que des mains, les siennes peut-être, écartent mes fesses. Un gland, un nœud pousse sur mon œillet. Je comprends. Deux sexes en moi. Double pénétration.
    
    Oh oui ! Je veux ! J’ai envie de me sentir pleine. Baisez-moi. Enculez-moi. Je suis votre chose. Un reste de pudeur me retient de dire ces paroles. Pourtant, ce serait si bon…
    
    Il y a seulement un mois j’aurais pensé cela impossible. Maintenant je suis impatiente.
    
    Mais non, la pression cesse. Hugo hésite peut-être ? Ah, il joue à frotter son gland dans le sillon de mes fesses. Je l’imagine, sa queue dans une main, la forçant à quitter chaleur de son ventre pour l’incliner jusqu’au contact de celle de Fabrice. Peut-être son gland va-t-il s’exciter sur les grosses couilles de celui qui me possède.
    
    Oh, c’est froid. Un liquide coule entre mes fesses. C’est trop froid et trop liquide pour être du sperme ou de la salive. Oh, mon chéri. Je reconnais bien là ta ...
    ... délicatesse et ta prévenance. Un lubrifiant pour favoriser la sodomie. Tu ne veux pas me blesser.
    
    Enfin, tu reviens. Ton nœud se place. Je sens que tu te penches sur moi pour éviter de trop incliner ton sexe. Je sais combien cela peut être douloureux pour toi, au point que je ne peux pas te chevaucher et me tenir droite sur toi. C’est seulement après avoir éjaculé une première fois que ta queue accepte plus de souplesse. Mais en contrepartie, c’est un mandrin dur, tendu, noueux qui me dilate et frotte mes parois jusqu’à l’extase.
    
    Voilà, c’est fait. Tu es en moi. Tu avances. Je sens chaque millimètre de la hampe progresser, faire connaissance avec l’autre queue, celle qui occupe déjà l’espace de l’autre côté de la fine membrane. Je sens aussi le souffle de Fabrice se modifier avec ta propre respiration sur ma nuque.
    
    Un soupir et son pubis se plaque contre mes fesses. Mon mari m’encule profond alors que mon amant me baise. Les queues sont maintenant complices. Personne ne bouge pour ne pas rompre le charme. J’ose glisser une main pour m’assurer de la réalité de ces deux pines qui me remplissent et que je sens palpiter en moi. On dirait deux branches partant d’un tronc commun que le vent force à se rejoindre. Je sens les veines gonflées de sang pour alimenter et durcir encore ces deux sexes. Mais je ne suis pas seule. D’autres mains sont là. Je bas en retraite. Je tourne la tête et à travers la forêt de bras j’entrevois Clara, agenouillée derrière nous. Enfin, je devine plus que ...
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