1. Chroniques immortelles - Viracocha (2)


    Datte: 28/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Irina, Source: Xstory

    ... coups comme ça et je vais tourner de l’œil.
    
    Lorsque ce dernier m’a maculé le dos de son sperme, le dernier se présente à son tour. Je reste sans réaction, mais à l’instant ou il me pénètre, je pousse un cri de douleur, un vrai cri ! Ce con a tapé durement sur mon périnée. La douleur est horrible. Dans le spasme, je l’éjecte, me roule en boule, en position fœtale secouée de tremblements. Je ne sens plus rien d’autre que la douleur qui irradie entre mes cuisses. Je les vois hésiter. Ils se sont rendu compte que je ne simule pas. Ont-ils comme consigne de ne pas me faire mal ? A moitié inconsciente, je les entend palabrer. Laisse, tu l’a blessée. Et après, ce n’est qu’une blanche ? Pawin n’aimerait pas ça. Allez, laisse là récupérer, tu la prendras plus tard...
    
    Ils s’en retournent à leurs occupations comme si de rien n’était, pendant que je reprends mes esprits en gémissant. Je finis par me redresser. Les jambes tremblantes, je me relève. Putain ! Ils m’ont pas loupée... Je suis couverte de terre, de sperme, et un filet de sang s’échappe de mon entrejambe. J’ai besoin d’un brin de toilette. Je lance un regard vers mes tortionnaires. Ils rigolent... mais je vois une lueur de reproche dans le regard de leurs compagnons.
    
    Au bord du rio, à une dizaine de mètres du campement, la rivière a créé une sorte de petite piscine naturelle dans les rochers. J’ai vu des indiens de tous ages aller se laver. C’est aussi un des terrains de jeu préféré des enfants. Mais alors que je ...
    ... commence à me diriger vers le bord de l’eau, mon cerbère à la lance s’interpose vivement. Et je pique une énorme colère !
    
    — Quoi ? Quoi ? Quoi ? Alors je peux même pas me nettoyer ? Dis-je d’une voie furieuse. Qu’est-ce que tu veux toi ? Tu veux me sauter toi aussi ? Tu veux m’empaler avec ta baguette ?
    
    D’un geste vif j’ai attrapé la pointe de la lance et sous le regard ahuri de l’homme, je me la colle dans ma chatte !
    
    — Tiens, vas-y, il y a plus qu’à pousser ! Eh bien ? Qu’est-ce que tu attends ? Marre ! Qu’on en finisse ! Merde, vous faites chier à la fin !!!
    
    Je repousse brutalement la lance et reprends ma marche vers le bord de l’eau. L’homme interloqué par mes éclats de voix, ne sachant que faire interroge ses compagnons du regard. D’un geste, ils lui font signe de m’accompagner...
    
    Ce bain est un vrai délice. Je me suis demandée s’il y avait des piranhas, mais tous barbotent dans l’eau sans crainte, et le courant semble garantir l’absence d’alligators. Je me baigne de longues minute, m’attachant à faire disparaître toute trace de salissure. Je prends un malin plaisir à me caresser le corps plus que je ne le nettoie, tout en jetant de fréquents regards à mon gardien, en multipliant les techniques de séduction. Je me venge ! Le pauvre gars ne sait plus ou se mettre. Désolée mon gars, mais s’il te vient des idées mal placées, tant pis pour toi, tu dormiras sur la béquille !
    
    Des femmes se baignent également à quelques mètres de moi sans s’approcher. Je les ...