1. Ce Beau Métier D'infirmière


    Datte: 09/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica

    ... Maintenant, tu sais tout des habitudes de la maison. Avec Barjot, on y passent toutes.
    
    - En plus, il a une maîtresse. Une belle métisse, une certaine Chloé Plouffe.
    
    - Plouffe? C'est une blague?
    
    - Son mari est un riche québécois. Elle vient de temps en temps à la clinique sous prétexte de réconforter les patients.
    
    Je me suis inquiétée.
    
    - Elle nous fait concurrence?
    
    - Pas impossible. Officiellement, elle représente une association évangéliste et vient prêcher la bonne parole divine, la vie saine et je ne sais quoi d'autre. Nous avons protesté que les religions n'avaient rien à faire ici, mais Barjot a répondu que c'était excellent pour le moral des malades.
    
    Quelques semaines après, Barjot m'a appelée dans son bureau en pleine matinée, alors que nos rencontres se passaient d'habitude l'après-midi, après la fin des visites. Il m'a recommandé de bien soigner à ma façon un malade un peu âgé. Un cardiaque. J'ai objecté que ça pouvait être dangereux, qu'on avait déjà vu des cardiaques mourir d'une masturbation trop vigoureuse. « Et alors? Surtout, pas de Viagra. » « Mais je n'en donne jamais! » « Tant mieux. Allez-y carrément. Si une autopsie est ordonnée, il ne faut trouver aucune trace d'erreur pharmaceutique. » « Vous me demandez ... de le ... » « Faites, vous n'aurez pas à le regretter. » « Mais enfin, ... » « Trois mois de prime, c'est honnête. » J'étais interloquée, mais j'ai compris quand j'ai vu que le malade s'appelait Plouffe. J'ai aperçu Chloé, sa ...
    ... belle métisse de femme, à la peau caramel clair, aux cheveux noirs et aux yeux bleus, venue dans sa chambre réconforter son mari, juste sans doute juste avant de retrouver Barjot. Elle m'a lancé un sourire sensuel, comme pour m'indiquer qu'elle était complice du « contrat ».
    
    Oui, j'ai accompli la mission demandée. Pendant trois jours j'ai chauffé le Plouffe, en lui montrant chaque fois un peu plus de mes seins et de mes cuisses, en le laissant de plus en plus longuement me tripoter les fesses et la chatte. J'ai fini par le sucer. Il a joui péniblement mais il était toujours excité. Son front et son cou étaient devenus écarlates. Une demi-heure après, je l'ai vigoureusement branlé et son deuxième orgasme a été le bon, c'est-à-dire son tout dernier. J'ai pris une longue douche pour m'ôter toute trace de son sperme, mais il n'y a pas eu d'enquête. La mort était apparue comme naturelle.
    
    Sylvie et Laurence ont trouvé ça louche. Elles m'ont demandé si je n'avais pas « joué avec le feu » et n'ont pas été convaincues par mes réponses embarrassées. Barjot a fait semblant d'être ennuyé : « Ce n'est pas bon pour les statistiques de la clinique cette affaire. » « Mais c'est vous qui m'avez dit ...» « Dit quoi? » « Et bien, comme dit Brassens, d'offrir à l'ancêtre une dernière érection. » « Vous vous moquez de moi. Je sais que vous amusez moyennant finance à sucer vos malades, je ferme les yeux. Vous êtes assez folle pour vous attaquer à un vieux qui claque entre vos doigts de jolie ...
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