Ce Beau Métier D'infirmière
Datte: 09/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica
... longuement la main. L'affaire faite, et pour l'exciter un peu plus, j'ai léché ma main pleine de son sperme. « Demain, la pipe... », a-t-il réussi à murmurer. Je lui ai répondu à l'oreille « Oui, mon grand, comme dans les films. » Il rebandait mais j'avais à faire ailleurs. Je l'ai embrassé sur le front comme aurait fait sa mère.
J'ai baisé avec un patient de 55 ans après une semaine d'agaceries diverses et de branlettes préparatoires. Tout essoufflé de son effort (il m'avait prise en levrette, debout), et recouché, il m'a remercié en déclarant :
- Je n'ai jamais eu autant de plaisir qu'avec vous.
Devant mon air étonné, il a entamé le récit de sa morne vie sexuelle.
- La sexualité a empoisonné toute ma vie. Depuis mon adolescence. Mes parents me surveillaient constamment. Je ne rencontrais jamais de filles, je n'ai fréquenté que des écoles et des lycées privés de garçons, et mes parents surveillaient tous mes jeux et toutes mes conversations avec les rares copains qu'ils agréaient. Tous les soirs je me masturbais malgré la peur de l'enfer et des « maladies ». J'en avais tellement honte que je n'en disais rien en confession. « Pas de pensées ou de gestes impurs mon garçon? » Je faisais semblant de ne pas comprendre et je m'accusais, faussement d'ailleurs, de voler de la confiture. Je repartais, dégoûté de moi-même. C'est dans ce milieu coincé que j'ai rencontré ma femme. Notre vie a été totalement routinière. Depuis longtemps, je lui fais l'amour sans plaisir. ...
... C'est une tâche conjugale qui me revient, comme de ranger la vaisselle ou passer l'aspirateur. Trois fois je suis « monté » avec des putes, mais ça a toujours été décevant. Elles n'ont cherché qu'à me faire cracher mon jus au plus vite. Mais, avec vous, quel bonheur! Vous êtes belle et affectueuse. On pourra se revoir, après que je sois sorti?
Je sentais venir cette demande. Je lui ai raconté que le service était très lourd, que j'en étais tous les soirs épuisée (c'était vrai), que j'étais mariée (c'était faux ; il a fait une moue comme si cela ne comptait pas), que j'allais bientôt être enceinte (cet argument l'a désarçonné ; il n'envisageait pas de baiser avec une femme enceinte, un préjugé classique). Finalement, je ne l'ai pas fait payer, pour ne pas lui gâcher un plaisir authentique, et pour ne pas être comparée, même favorablement, aux trois putains qu'il avait rencontrées.
En vertu (sic) des probabilités, cela ne pouvait pas manquer : le chef de service, il s'appelait Barjot, m'a surprise en pleine action fellatrice. Au lieu de faire du scandale, il s'est retiré discrètement. Tout à son plaisir, mon malade ne s'est aperçu de rien. En fin d'après-midi, Barjot m'a fait appeler dans son bureau.
- Ainsi, vous faites comme les autres!
- . . .
- Pourquoi pas? Vous contribuez toutes au bon moral de nos patients, ce qui est essentiel dans un processus de convalescence. Je ne vais pas vous faire de la morale, mais juste de vous recommander de ne satisfaire que des ...