Mia
Datte: 09/02/2020,
Catégories:
f,
fh,
vacances,
forêt,
autostop,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
pénétratio,
nostalgie,
coupfoudr,
Auteur: Katzou, Source: Revebebe
... faunesse et elle allait fuir si je m’approchais. Ce fut elle qui me déshabilla, lentement, délicatement, posant ses mains fraîches sur moi et faisant naître des frissons à chaque fois. Je me laissai faire comme dans un état second.
Cet instant est resté en moi, ce moment où les mains si douces et fraîches de Mia m’ont touché, ce furtif glissement de ses doigts sur ma peau, ce froissement de l’étoffe à mes pieds et surtout son souffle si près de moi, ses lèvres presque posées sur mon corps qu’elles survolaient… Mia me laissa l’aimer, doucement, lentement, la couchant dans l’herbe odorante, parmi les touffes de lavandes et les oliviers centenaires.
Elle gémit quand ma verge la pénétra et me mordit l’épaule quand l’orgasme la foudroya. Elle était si douce et si frêle, son corps que je prenais si brutalement m’était un cadeau que je ne pourrais jamais rendre. J’eus peur de lui faire mal, car je me savais un peu brute à certaines femmes et Mia était de celles-là, ma verge avait du mal à se glisser entre ses cuisses, à la pénétrer et je forçai mon ventre en elle, paniqué à l’idée de ne pas pouvoir la satisfaire.
J’étais tellement fasciné, séduit et terrassé de bonheur que je ne fus pas vraiment à la hauteur, trop estomaqué par ce qui m’arrivait. Je lui fis l’amour trop vite, maladroitement et sans lui faire vraiment partager, je m’en rendis compte trop tard et lui murmurai à l’oreille des mots doux, pour m’excuser, pour me faire pardonner.
Elle me semblait un ange du ...
... ciel et je n’avais jamais fait l’amour à un ange… Elle ne parla pas et je me tus, elle reprit sa robe sans l’enfiler, restant nue sur la moto, se serrant contre moi, fraîche dans la nuit. Je regrettai de m’être rhabillé. Je la ramenai à sa voiture, et la soupçonnai de m’avoir fait prendre un chemin plus long qu’à l’aller.
Nous étions seuls sur la route déserte, amants d’un soir, maîtres du monde. Cela me plaisait, son contact, sa présence, son parfum, tout en elle me faisait plaisir. La voir, l’entendre, la sentir dans mon dos, me réjouissait.
Nous nous trouvions tous les deux dans une bulle de chaleur et de nuit, précédés par la lumière rassurante du phare de la moto qui déroulait la route en blanc devant nous.
J’imaginais le spectacle de la moto noire et de son pilote, la silhouette blanche de la fille, légère et dévêtue posée sur le siège arrière comme ces fées claires que j’imaginais enfant.
La jeune femme s’abandonnait sur mes épaules et me donnait des frissons, sa chaleur transperçait pourtant le tissu léger de ma chemise. Je sentis la pression délicate de sa poitrine et ses bras me serrèrent un peu plus fort. Arrivés à sa voiture, je la déposai avec regret.
Je m’étonnai alors de ne pas me trouver paralysé par le désir, par le besoin de la prendre, de la serrer contre moi et de lui faire l’amour, sur le macadam encore chaud.
Elle sauta du siège avec élégance et je regrettais de ne pouvoir la suivre des yeux, occupé que j’étais à béquiller la moto. Je vis ...