1. Mia


    Datte: 09/02/2020, Catégories: f, fh, vacances, forêt, autostop, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, nostalgie, coupfoudr, Auteur: Katzou, Source: Revebebe

    ... battait fort à mes oreilles et rythmait ses gestes. Sa main lentement bougeait, posée sur la surface nue et lisse de son sexe, elle se caressait, doucement bougeant sa main, pliant ses doigts, phalange après phalange, les engloutissant en elle.
    
    J’eus un peu honte de rester là et d’assister à ce spectacle si intime, j’étais maintenant voyeur et je me décidai à partir, malgré ou à cause de ma verge, devenue bois à la fourche de mes cuisses et qui tendait le tissu fin de mon pantalon. Je m’en voulais d’assister à cette scène si personnelle, sans qu’elle sache que j’étais là. Le désir au creux de mon ventre me criait de rester là et de jouir de ce spectacle si fort, si beau, mais je ne désirais pas profiter de la situation, je respectais cette fille et je ne voulais pas la blesser, j’étais vraiment perturbé.
    
    Je me dirigeai silencieusement vers la porte quand Mia m’arrêta :
    
    — Reste, s’il te plaît, ne t’en va pas !
    
    Elle avait chuchoté cela d’une voix grave : je ne répondis pas et surpris, me figeai sur place puis retournai m’asseoir.
    
    Une décharge d’adrénaline me foudroya alors. Elle me savait là, elle voulait que je reste. Je me disais qu’elle allait se lever et ouvrir les volets, se rhabiller, mais au lieu de cela, Mia continua ses caresses, les yeux fermés, et je la regardais frôler sa peau nue de ses doigts légers.
    
    — C’est si bon, surtout que tu es là, à me regarder…
    
    J’étais gêné de la voir ainsi se caresser devant moi, mais j’acceptai tout d’elle et pris ...
    ... cela comme un cadeau qu’elle me faisait. Mon sexe battait, comprimé dans le tissu et je m’abstins d’y porter la main de peur de jouir sans retard.
    
    Je n’avais pas une grande expérience des femmes, ma copine, si vraiment copine il y avait eu, m’avait laissé tomber il y a peu et j’étais célibataire, un peu moine. Jamais une femme ne s’était abandonnée ainsi devant moi, j’aimais faire l’amour et mes phantasmes restaient des phantasmes, élaborés et complexes, ce que je voyais en faisait partie ce qui me rendait encore plus sensible.
    
    Elle s’enfonça plus profondément en elle, faisant disparaître encore plus loin deux puis trois doigts dans sa fente nue et mouillée, entre les pétales roses, pliant son dos en arc de cercle, enfin elle frotta durement la paume de sa main sur son clitoris, dur et dressé et sans un cri, se fit mourir devant moi, le corps tétanisé, arqué en arrière, la bouche entrouverte et ses yeux enfoncés dans les miens.
    
    Elle gémit doucement, une voix qui venait de son ventre, une voix forte, mais ce n’était pas un cri, plutôt une mélopée lancinante, la voix du sexe, du désir, du plaisir brut et obscène d’une fille qui se masturbait, qui jouissait. Elle se donnait entièrement, exhibant son sexe ouvert, son vagin nu où elle enfonçait avec une violence inouïe ses doigts, sa main.
    
    Elle était magnifique, toute sa musculature et ses attaches fines révélées, embellies par la lumière tamisée qui baignait la pièce sombre. Les ombres l’habillaient et en même temps ...
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