1. Mia


    Datte: 09/02/2020, Catégories: f, fh, vacances, forêt, autostop, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, nostalgie, coupfoudr, Auteur: Katzou, Source: Revebebe

    ... magnifiaient sa nudité, la transformant en une gravure veloutée de noir. Son corps brillait de perles de transpiration, comme la robe d’un cheval fou. Des larmes noyaient ses yeux. Je la trouvais alors si belle, si formidable que j’aurais voulu mourir moi aussi, là, sur-le-champ.
    
    Je m’approchai d’elle dans un état second, ma verge me faisait mal, comprimée par mon pantalon, contrariée dans son érection. Je ne savais plus ce que je devais faire, mon corps la désirait, mais mon esprit, s’il la désirait autant, me criait que ce serait une insulte que de céder et de la toucher. Je me sentais si mal… Je regrettais de ne pas être parti.
    
    Je m’agenouillai devant elle, immobile. Elle se redressa et s’assit en tailleur sur le lit, le ventre toujours ouvert, appuyée sur ses mains posées à plat, son buste rejeté en arrière faisait saillir ses seins aux tétons dressés. Des rigoles de sueur traçaient des filets clairs sur sa poitrine et des gouttes couraient sur sa peau frémissante. Un reflet d’or éclaira son visage et ses yeux. Je respirai son odeur, forte et agréable, Mia se douchait avec des litres de lavande, car elle adorait cela. En contrepoint, son odeur corporelle perçait, suave et cependant acide, comme une touche de lumière sur de la neige nocturne.
    
    — Excuse-moi,
    
    Sa voix rauque et basse me fit frissonner.
    
    — Je suis un peu salope, tu dois être dans un sacré état, mais c’était si bon, si bon de te savoir là.
    — Oui, je suis dans un état avancé !
    
    Elle rit et je ...
    ... ris aussi, mais mon ventre était toujours aussi dur, je mourrais de frustration, à quelques centimètres d’elle, sans oser la toucher, sans oser trop la regarder. Elle remonta ses genoux et les enlaça de ses bras bronzés et musclés. Je voyais toujours son sexe, ne pouvant détacher les yeux de ses lèvres maintenant mouillées.
    
    — Viens. Je t’attends depuis ce matin. Tu vas bien depuis hier soir ?
    
    Elle se leva :
    
    — Tu as mis du temps, j’étais un peu triste et je n’ai pas pu attendre…
    
    Je restai silencieux, troublé.
    
    — Je ne veux pas rester seule avec mon plaisir, viens, j’ai envie de partager avec toi, si tu le veux bien, c’était si spécial la nuit dernière…
    
    Je ne répondis rien. Mia s’approcha lentement de moi, se pendit à mon cou et je l’embrassai doucement, laissant mes mains parcourir et découvrir son corps nu et frais, doux et dur.
    
    — Tu n’as pas envie de moi ?
    
    Je ne répondis pas, troublé. Je ne voulais pas parler, le son de ma voix aurait brisé le charme. Mon corps, mes yeux parlaient. Sa peau se frotta à mes vêtements dans un froissement de soie.
    
    Ses mains me déshabillèrent à nouveau, comme la veille, avec douceur, lentement, touchant ma peau et me faisant frissonner, je me retrouvais nu, mon sexe logé entre ses cuisses mouillées, à l’orée de sa vulve ouverte et chaude. Elle parut surprise, mais ne dit rien. La veille au soir, au retour de ma balade, j’avais rasé ma verge complètement, sacrifiant ma toison pour approcher de plus près Mia. Seul dans ma ...