1. Révolte d'une épouse soumise


    Datte: 07/02/2020, Catégories: f, fh, ff, grossexe, humilié(e), vengeance, intermast, Oral 69, fgode, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, confession, consoler, Auteur: Pat, Source: Revebebe

    ... peur de briser leur amitié.
    
    Après avoir terminé son bol, Pierre se leva, fit le tour de la table et planta un baiser sur le front de sa femme.
    
    — À ce soir !
    — À ce soir, répondit Sarah sans grande conviction. Le baiser sur le front l’agaçait. On aurait dit un père qui embrasse son enfant.
    
    Pierre quitta la maison, le bruit de sa voiture s’éloigna. Sarah regarda l’horloge au-dessus de la porte. 8 h 30, il était trop tôt pour déranger Béa. Connaissant son amie, elle n’était probablement pas rentrée seule hier soir. Le nombre d’aventures qu’elle collectionnait aurait fait pâlir n’importe quel playboy. Heureusement pour elle, Béa était libre de ses horaires, puisqu’elle écrivait des livres pour adolescents.
    
    — Oh, et puis zut, pensa Sarah. Il fallait qu’elle sorte de chez elle. Elle passa à la salle de bains, prit une douche, enfila un jean élimé et un tee-shirt blanc. Quinze minutes plus tard, elle était dans sa voiture en train de foncer chez son amie.
    
    Béa habitait une grande villa cossue au sud de la ville. Hormis son travail, Béa adorait s’occuper de l’aménagement extérieur de sa maison. Elle avait notamment créé un pont japonais qui enjambait un bassin d’eau remplis de lotus. Une pure merveille qui lui valait la présence, de temps en temps, de journalistes de revues spécialisées. Sarah gara sa voiture le long du mur de la propriété et traversa le jardin qui conduisait à l’entrée de la maison.
    
    « Avec un peu de chance, je découvrirai la dernière conquête de ...
    ... mon amie », pensa-t-elle avec un sourire espiègle aux coins des lèvres, en sonnant.
    
    Quelques instants plus tard Béa apparut sur le pas de la porte, pas maquillée, sa chevelure brune en désordre, mais habillée d’un pantalon de toile et d’un chemisier. Les deux jeunes femmes s’embrassèrent. Sarah demanda à son amie pourquoi, elle était déjà debout. Béa répondit qu’elle avait rompu depuis plus d’une semaine de son dernier amant et qu’elle profitait de ses moments de solitude pour avancer sur son dernier livre.
    
    — Ciel ! Cet homme avait quelque chose de plus que les autres, pour que tu ne sortes plus ? lui rétorqua Sarah en souriant.
    — Oh oui, ça tu peux le dire. Si tu veux savoir, à mon goût il était trop imbu de sa personne, et de plus, au niveau cul, ce n’était pas ça…
    
    Elle hésita un instant, puis à voix basse lui confia :
    
    — Il déchargeait trop vite son fusil.
    — Ah ! Au moins lui, il déchargeait, se dit pour elle-même Sarah qui ne put s’empêcher de comparer sa propre situation.
    — Allez rentre ma chérie, qu’est ce qui t’amène à cette heure-ci ?
    
    Sarah suivit son amie sans répondre.
    
    Elles s’installèrent dans le salon. Béa fit couler deux expressos et revint s’asseoir à côté de son amie. Les lèvres sur la tasse, Sarah ne disait rien et restait absorbée par ses pensées. Béa comprit que Sarah avait des problèmes et décida de rompre le silence.
    
    — Sarah, si tu es venue me voir de si bonne heure, c’est que tu as besoin de vider ton sac, alors s’il te plaît, parle ...
«1234...34»