Révolte d'une épouse soumise
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
f,
fh,
ff,
grossexe,
humilié(e),
vengeance,
intermast,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
consoler,
Auteur: Pat, Source: Revebebe
... !
Sarah se ressaisit regarda son amie dans les yeux et lâcha :
— Tu me trouves belle ?
Béa faillit lui demander si c’était une demande en mariage, mais devant le regard abattu de la jeune femme préféra s’abstenir.
— Tu as des problèmes avec Pierre ?
— Cela fait deux mois, qu’il ne m’a pas touchée, même lorsque j’essaie de le provoquer.
— As-tu essayé de lui en toucher un mot ?
— Bien sûr, « il est fatigué, on en reparlera plus tard », voilà ce qu’il me répond !
Béa connaissait Pierre et n’en avait pas une haute opinion. Pour elle, c’était le style de gars macho qui convoitait la femme des autres, alors qu’il avait mieux à la maison. Cependant, par respect pour Sarah, elle se garda bien de faire état de ses sentiments à l’égard de son mari.
Béa ne comprenait pas comment on pouvait dormir à côté d’une femme comme Sarah, sans avoir envie de lui sauter dessus. Sarah avec son mètre quatre-vingt, faisait retourner les hommes dans la rue, dans son sillage. Ce n’est pas les trente-cinq ans qu’elle venait de fêter qui changeaient quelque chose, bien au contraire, la trentaine lui conférait une certaine maturité sans rien enlever à sa beauté. Béa qui était petite, brune aurait aimé ressembler à son amie. Un visage finement dessiné, des yeux bleus verts et une poitrine fière avec un volume idéal.
— Ma chérie, ma question va être brute de décoffrage… Mais es-tu sûre, qu’il n’a personne d’autre, dans sa vie ?
La question l’a tellement surprise que Sarah ne put ...
... que bégayer :
— Tu… tu crois ?
— Tu sais un homme normalement constitué ne peut rester deux mois sans avoir envie, sauf s’il est malade.
Sarah regarda Béa dans les yeux et compris que son amie pouvait avoir raison.
— Que dois-je faire ?
— Mener ton enquête. As-tu consulté la messagerie de son portable ? cherché des traces ou des odeurs sur ses vêtements ?
— Je vais faire attention, promis Sarah avant de se refermer dans son mutisme.
L’air triste de Sarah, faisait comprendre que le malaise était profond. Béa en comprit le sens lorsqu’elle vit le regard de la jeune femme arrêté sur les statuettes exposées sur les rayonnages de sa bibliothèque. Il s’agissait de figurines sculptées dans du bois exotique au Laos et représentant chacune un acte sexuel, tel que représenté par le kamasoutra. Le regard de Sarah ressemblait à celui d’un enfant qui passe devant une vitrine de jouets. Béa s’approcha plus de son amie et posa une main sur le haut de sa cuisse.
Sarah sortit de sa contemplation :
— Qu’est ce que tu fais ?
— Laisse toi aller !
Béa ne lui laissa pas le temps de répondre et appliqua ses lèvres contre les siennes.
Incapable de réagir, elle laissa la langue de Béa investir sa bouche. Récalcitrante, les premières secondes, elle devenait actrice de son propre désir. Les mains de Béa avaient glissé sous son tee-shirt, caressaient sa peau, effleuraient ses seins, créant à chaque passage une onde électrique qui lui remontait jusque dans le crâne.
Béa lui ...