Révolte d'une épouse soumise
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
f,
fh,
ff,
grossexe,
humilié(e),
vengeance,
intermast,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
consoler,
Auteur: Pat, Source: Revebebe
... surprise. Pierre maugréa quelque chose du style : « Dors arrête de gigoter ». Elle n’osait plus bouger, cherchant à reprendre sa respiration, en silence et tétanisée par sa découverte. Elle avait tellement transpiré, qu’on aurait dit qu’elle sortait de la douche.
Adolescente, elle ne s’était jamais masturbée. D’ailleurs, ses parents, très portés sur la morale religieuse, ne parlaient jamais de sexualité, c’était un sujet tabou à la maison. C’est avec Pierre qu’elle découvrit ses premiers émois à dix-sept ans. Dans un éclair de lucidité, Sarah freina subitement et tourna à droite pour rentrer chez elle. Elle préféra éloigner ses pensées coquines car en rentrant, il ne s’agissait pas de réveiller Pierre. À l’intérieur de la maison, à tâtons, elle rejoignit le lit conjugal, où le ronflement régulier de son mari l’attendait. Troublée par les souvenirs qu’elle avait revécus en rentrant du travail, Sarah ne s’endormit pas tout de suite et repensa à ce qu’elle connaissait vraiment des hommes avant que le sommeil l’engloutisse.
I – Expérience inédite
Lorsque Sarah se réveilla, Pierre avait déjà quitté le lit conjugal. En regardant l’heure qu’il était sur le radioréveil, elle pensa qu’il était dans la cuisine en train de déjeuner. Sarah se leva, s’étira avant de rejoindre son mari. En rentrant dans la pièce, elle le gratifia d’un :
— Bonjour, tu as bien dormi ?
Et sans attendre la réponse, elle se servit du café et vint s’asseoir à table en face de lui. Elle posa une ...
... question :
— Tu rentres à quelle heure ce soir ?
— Probablement tard, car le Chef veut réunir tous les commerciaux après la fermeture pour faire un débriefing.
Sarah ne put s’empêcher de penser que le chef de son mari n’avait pas de vie de famille.
— Je ne t’attends pas pour souper ?
— Non, ce n’est pas la peine.
Chacun avait la tête plongée dans son bol de café noir, jusqu’à ce que Pierre relance la conversion.
— Tu vas faire quoi de ta journée de repos ?
Sarah hésita un instant :
— Je pense aller voir Béatrice, puis nous irons probablement faire un tour aux boutiques, j’ai besoin de nouveaux habits, ceux que j’ai, sont d’hiver et commencent à me tenir trop chaud.
Pierre ne répondit rien, le regard noir qu’il lança par dessus son bol en disait long sur l’opinion qu’il avait des amies de sa femme et plus particulièrement de Béatrice. Béa – tout le monde l’appelait ainsi – était le modèle de femme, indépendante, cultivée et sûre de son charme. Elle ne laissait aucun homme diriger sa vie. Béatrice n’ignorait rien des sentiments de Pierre à son égard et lui rendait bien son antipathie.
Béa était le genre de femme que Pierre n’aurait pu séduire. Amies d’enfance, les deux femmes ne s’étaient jamais perdues de vue. Même les amours sérieuses et le mariage de Sarah n’avaient entamé l’amitié qui les liait. Béa avait essayé de faire comprendre à Sarah qu’elle méritait mieux que Pierre, mais devant l’obstination de son amie avait préféré battre en retraite, de ...