Révolte d'une épouse soumise
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
f,
fh,
ff,
grossexe,
humilié(e),
vengeance,
intermast,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
consoler,
Auteur: Pat, Source: Revebebe
... exorciser les précédents jours.
Béa se détacha enfin et dit :
— J’ai rompu avec Paul.
— Je suis désolée.
— Non, ne le sois pas. Je lui ai expliqué qu’après cette soirée, on ne se verrait plus de même façon. Il était d’accord avec mon point de vue et regrettait que l’on soit allés aussi loin.
Sarah réfléchi un instant puis reprit :
— On n’a plus qu’à oublier et faire comme avant, comme si rien ne s’était passé.
— Ouai, il y qu’à… Pour arroser nos retrouvailles, je t’invite au resto chinois au coin de la rue.
— D’accord, j’ai faim. Je vais chercher une veste et je reviens.
VIII – Rencontre
Sarah avait retrouvé un équilibre dans sa vie. Elle partageait son temps entre son travail à l’hôpital, son amie Béa et quelques loisirs sportifs et culturels. Elle ne s’était jamais sentie aussi libre et heureuse, si ce n’était le calme plat au niveau de sa vie effective. Avec les jouets que lui avait offerts Béa, elle se donnait son plaisir toute seule. Mais cela avait ses limites et Sarah le savait. Un vibromasseur en silicone, ne remplacera jamais l’étreinte d’un homme. D’ailleurs l’absence d’une relation affective avec un homme lui manquait. Quand, elle pensait à ça, elle se ressaisissait en s’accusant de vouloir troquer sa liberté actuelle pour retourner avec un homme comme Pierre.
Béa lui conseillait de sortir. Quelquefois, elle l’accompagnait au cinéma où au théâtre. Comme Béa était devenue une personnalité publique, les deux jeunes femmes rencontraient ...
... beaucoup de monde. Mais aucune des deux ne trouvait d’hommes à sa convenance. Lorsqu’elles en discutaient ensemble, cela se terminait par une crise de rire. Béa avait pour habitude de dire qu’il faudrait passer un contrat de réapprovisionnement avec un sex-shop, car le matériel s’use.
La veille de Noël, un événement inattendu se passa. L’adaptation cinématographique du livre de Béa était un succès national. On parlait déjà d’exporter le film outre-Atlantique. Une soirée de promotion fut organisée par le producteur du film où tout le gratin que comptaient le 7ème art et l’édition fut invité. Béa, qui avait horreur de ces mondanités car elle jugeait les personnes fausses, ne souhaitait pas s’y rendre. Devant l’insistance du producteur et de Sarah, elle accepta, mais à condition que cette dernière l’accompagne. Sarah était impressionnée de voir et de parler avec des gens qu’elle ne voyait auparavant qu’à travers l’écran de la télévision.
Comme Béa était une des stars de la soirée, Sarah restait seule devant le buffet.
Au bout d’un moment, elle se retourna se sentant observée. Un homme de grande taille avec de grands yeux bleus et les cheveux noirs et courts la fixait. Sarah reconnu Axel Kunt, un acteur de cinéma. Il s’approcha et lui dit :
— Excusez moi, je vous trouvais très jolie et si mélancolique à la fois.
— Merci pour le compliment.
— Je me présente…
— Pas la peine M. Kunt, je sais qui vous êtes. J’ai une télé et de temps en temps, je vais au ciné.
— Excusez-moi, ...