1. Révolte d'une épouse soumise


    Datte: 07/02/2020, Catégories: f, fh, ff, grossexe, humilié(e), vengeance, intermast, Oral 69, fgode, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, confession, consoler, Auteur: Pat, Source: Revebebe

    ... demi-inconsciente.
    
    — Je suis impuissant, lui cria-t-il dans l’oreille.
    
    Il essayait de recouvrir la bouche de Sarah avec la sienne, mais elle tournait la tête. Avec sa main libre, il lui malaxait fermement les seins, en lui faisant mal.
    
    Il lui écarta de force les jambes avec ses genoux et la pénétra sans autre forme de procès. Sarah ressentit une brûlure au niveau du vagin et préféra arrêter de se débattre. Elle se dit qu’il valait mieux le laisser terminer. La conclusion ne fut pas longue à venir, quelques mouvements de bassin et Pierre se raidit en elle avant de se laisser rouler sur le côté.
    
    Sarah se leva immédiatement et alla s’enfermer dans la salle de bains en sanglots. Elle finit de se déshabiller et se glissa sous la douche. Même si c’était son mari, elle avait besoin de laver l’outrage qui la brûlait intérieurement. Il fallait qu’elle évacue ce foutre qu’elle avait en elle. Les minutes passaient sous la douche. Son mari l’appela en l’implorant d’ouvrir. Il s’excusait de son acte et ne comprenait pas ce qui lui était passé par la tête. Sarah restait accroupie au fond la douche, prostrée. Las de crier derrière la porte, Pierre s’éloigna. Lorsqu’elle ressentit le froid sur sa peau, elle se leva et alla ouvrir la porte. Son mari n’était plus là.
    
    Elle regagna sa chambre, déserte elle aussi, le lit en désordre, preuve de ce qui venait de se passer. Elle prit des vêtements dans la penderie et s’habilla, puis sortit d’une étagère deux sacs de voyage et vida ...
    ... les vêtements de son côté de penderie pour les mettre dans les sacs. Elle trouva le cadeau que lui avait offert son amie et le mit dans le sac. Chargée de ses deux bagages, elle passa au salon qui était, lui aussi, désert pour récupérer son sac à main ainsi qu’une mallette métallique où elle archivait tous ses documents administratifs.
    
    Elle chargea le tout dans le coffre de sa voiture, ne prit même pas la peine de revenir fermer la porte d’entrée de cette maison vide. Elle démarra son véhicule et quitta sa maison en même temps qu’elle quittait son ancienne vie. Sarah n’avait nulle part où aller si ce n’est chez son amie. Arrivée devant le portail de la propriété, elle sonna à l’interphone. Deux minutes passèrent, avant que la voix de son amie se fasse entendre :
    
    — Bonsoir, qui c’est ?
    — Béa ouvre, c’est Sarah, sanglota-t-elle
    
    Le portail électrique commença à s’ouvrir et les lumières du jardin s’éclairèrent.
    
    Sarah avança au pas jusque devant l’entrée de la maison. Béa l’attendait en petite nuisette et fit immédiatement le tour de la voiture pour venir chercher Sarah.
    
    À la vue du visage en pleurs de son amie, Béa comprit qu’il s’était passé quelque chose de grave. Elle ouvrit la portière et en fit descendre la jeune femme puis la guida à l’intérieur de sa maison. Une fois installée dans le salon, Béa prépara des tisanes chaudes et ramena une boîte de mouchoirs en papier.
    
    Béa demanda des explications à Sarah. Celle-ci lui narra les événements qui l’avaient ...
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