La Belle des années folles - Chapitre 8
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Abadi, Source: Hds
... au niveau de son ventre le sexe énorme du type… Elle se laisse aller et elle commence à se frotter doucement dessus. Elle a comme l’impression d’une bite démesurément longue, puisqu’elle sent la tige dure et dressée atteindre la base du sillon entre ses deux seins. Il est vrai que le type est plutôt grand. N’empêche. Elle se sent chavirer et la tête lui tourne un court instant… Elle ouvre plus grand la bouche et la langue chaude la pénètre plus profondément…
L’instant d’après, elle sent son corps s’amollir et elle décharge maintenant complètement. Sa liqueur chaude coule de sa vulve, et inonde doucement son entrejambe… Le type se laisse aller de plus en plus sur Jeanne, au point que celle-ci se retrouve coincée entre le comptoir du bar et l’homme qui l’embrasse. Bien qu’elle soit pleine de désir d’être pelotée et caressée, elle redoute un peu que l’homme lui mette la main entre les jambes et s’aperçoive de son état. Et en même temps, elle se dit qu’il est tellement pété qu’il ne s’en apercevra peut-être même pas… Elle sent qu’elle continue à couler et que son clito est tendu…
L’Adèle interrompt ses craintes et les effusions en rappelant de derrière son comptoir que l’on est là pour consommer et que le reste viendra dans la foulée et en fonction de ce qui sera commandé…
La Fernande a entrepris un petit brun, râblé et apparemment très musclé ; elle lui passe la main dans la chemise sous le veston ouvert. La Joyeuse, elle, a hérité du plus jeune de la bande, un beau ...
... blondinet très classe, mais sans doute aussi le plus saoul du quatuor. Il se laisse aller sur elle et elle a beaucoup de mal à le contenir et à le faire tenir debout. Léopoldine, quant à elle se coltine le quatrième, toujours avachi sur la table près de l’entrée où il s’est effondré. Il a du mal à se relever malgré les efforts désespérés de la petite…
Celui qui colle la Jeanne est sans doute le chef. En effet, suite à la demande de l’Adèle, se recule à peine de la jeune femme et avec des gestes mal assurés, sort de sa poche une grosse poignée de billets de banque, qu’il appuie lourdement sur le comptoir devant la patronne à qui le sourire revient. Celle-ci s’en empare presque avidement. Jeanne, qui tourne le dos au comptoir, ne peut voir directement les billets, mais au temps que met l’Adèle pour les défroisser et au bruit que font ces billets, les uns après les autres, elle comprend qu’il y a le '' paquet ''.
La patronne met en poche les billets et dit :
- ''Allez, on y va, champagne pour tout le monde !'' Et elle aligne rapidement neuf verres sur le zinc, sortant de dessous le comptoir deux bouteilles de Champ., et du meilleur, celui des grands soirs…
Jeanne est toujours le dos appuyé au comptoir. Ecrasée par l’homme qui l’embrasse toujours goulûment. Maintenant il lui pelote les fesses d’une main et de l’autre il lui écrase un sein… Il la pelote, utilisant une force très disproportionnée avec ce que nécessite la douceur d’une caresse… L’engin énorme, roule sur son ...