1. La Belle des années folles - Chapitre 8


    Datte: 07/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Abadi, Source: Hds

    ... ventre, lui prodiguant des montées de désir qui se concrétisent en mouille de sa chatte…
    
    La Fernande a pris en main le petit brun qu’elle a réussi à l’asseoir sur une chaise près de la porte. Le gars, a le pantalon à mi-cuisses, les bretelles baissées. Fernande s’agenouille entre ses jambes, les fesses à l’air, montrant sans complexe aucun, son joli cul à l’assemblée grâce à la culotte fendue (photo 2). La garce prend en bouche la bite flasque et nonchalante qu’elle a sortie du caleçon. Elle la suce avec force et conviction pour la faire bander.
    
    Léo, a fini par coucher complètement l’autre type sur deux chaises. A genoux, elle aussi, elle lui suce le membre d’un assez beau calibre. (Photo 3). Elle le branle et suce. L’homme lui a sorti les seins du chemisier et lui caresse sa belle poitrine, magnifique et sensuelle.
    
    Joyeuse a réussi à asseoir son type au fond de la salle, à l’opposé a plus loin de l’entrée, dos au mur. Pour l’exciter un peu, comme à son habitude, elle lui prend la bite entre ses seins, façon cravate de notaire. (Photo 4). Mais le type ne semble pas très excité par les frottements pourtant déterminés que lui prodigue la petite Joyeuse…
    
    Jeanne est toujours compressée entre le type et le comptoir. Elle ne sent la bite du type qu’à travers le tissu… Le gars est trop saoul et trop affalé sur elle pour avoir trouvé le petit pli secret dans le tissu de la jupe, qui lui donnerait directement accès à la chatte de la belle. Etrangement, la bite lui chauffe ...
    ... fortement le ventre, même à travers le tissu …
    
    Elle a souvent été dans cette position, celle où un quidam lui fait sentir son sexe en se frottant sur son ventre, mais jamais elle n’a remarqué comme maintenant, que cela la chauffait autant. Comme le type est ivre, elle pense que cela peut expliquer la chaleur de son corps… et de son sexe !
    
    L’homme lui écarte les jambes et sans ménagement, presque brutalement, il lance maladroitement sa main sous la jupe. Elle sent la main brûlante arriver dans son entrejambe. Elle est trempée. Ce qu’elle redoute arrive… L’homme malgré sa cuite s’aperçoit qu’elle mouille. Son souffle brûlant dans le cou et sur le visage de Jeanne se fait plus rapide et plus présent. Ses doigts atteignent sans peine la vulve, glissent dans la fente, et s’insinuent dans l’ouverture de son jeune con. Le trou est béant, mouillé et onctueux de la cyprine qui s’épanche depuis un bon moment… Glissant entre les lèvres de sa jolie vulve de femme, deux doigts entrent complètement dans le vagin et commencent à branler la jeune femme. Jeanne défaille presque écartant au maximum les jambes pour faciliter les va-et-vient des doigts… De par son mouvement, l’homme s’appuie de plus en plus sur Jeanne qui a la barre d’appui du comptoir juste au-dessous des omoplates et commence à avoir très mal au dos.
    
    Elle arrive à grand peine à passer la main droite entre son ventre et celui du mec. Elle réussit à atteindre les boutons en haut de la braguette. Elle sent la bite dure ...
«1...345...»