La Belle des années folles - Chapitre 8
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Abadi, Source: Hds
... l’homme a traîné toute la journée, et ne s’est pas lavé depuis des heures. Et puis aussi parce qu’il a forcément dû pisser… C’est une odeur forte à mi-chemin de celle de l’urine et celle de la transpiration forte des hommes...
Lorsqu’elle prend la bite en bouche, le goût associé à l’odeur lui déferle dans l’arrière gorge et les narines. Brusquement elle retrouve une sensation qui s’impose à elle….Une sensation qu’elle a connue et qu’elle reconnait maintenant très bien : celle de la bite de Casy. Il y a de cela quelques années… Alors, à cet instant son imaginaire lui échappe et se sont des images, des goûts subtils et précis qui lui reviennent, sans aucun effort, sans recherche particulière de sa part… Cette odeur tellement caractéristique, fauve, forte et puissante qui l’a tant enivrée cette première fois et qu’elle n’a encore jamais exactement retrouvée avant ce soir.
Parfois à certains moments, avec certains hommes, elle a eu conscience d’approcher cette odeur et ce goût qu’elle connait de ce moment-là, mais toujours quelque chose lui a manqué. Alors que ce soir…
Tandis qu’elle suce et aspire le membre imposant et déformé de l’homme, les images s’imposent devant ses yeux : le bout du gland énorme du Noir, des couilles aussi qui vont et viennent sur ses seins… Cinq ans après, le souvenir, la sensation lui reviennent, intacts, d’une présence inouïe. D’ailleurs c’est la bite de Casy qu’elle suce là, maintenant, et non celui du bel inconnu ivre de ce ...
... soir…
Elle veut en avoir le cœur net et vérifier que cette odeur si particulière, qui mêle le musc, la transpiration forte et l’urine ont bien pour chaque composant des origines différentes… Suçant le bout du gland et aspirant comme sur le tuyau d’une pipe, elle peut définir que c’est bien le goût acide et fade de l’urine qui domine, associé à une forte odeur de pisse, lorsqu’elle porte son nez sur le bout du gland.
Lorsqu’elle enfouit son nez et sa langue à la base de la tige, sous les couilles, là, c’était incontestablement les effluves de transpiration et de musc qui l’emportent, s’associant à la saveur piquante et un peu aigrelette de la sueur… Mais les deux odeurs combinées, ont cet étrange pouvoir sur elle de l’exciter au plus haut point. Elle sent son clito se durcir et même son sphincter anal frissonner… Toutes les femmes, à un moment ou à un autre de leur vie parfois même très souvent, ont atteint ainsi le paroxysme de leur excitation de femme grâce à ces mélanges d’odeur chez leurs amants…
Elle suce encore plus avidement le beau membre qui maintenant bande bien dur. Excitée par tous ces effluves, Jeanne fait le maximum, avec sa langue mais aussi avec ses mains. De l’une, elle branle la hampe tout en suçant le gland, de l’autre elle manie doucement les couilles allant de la caresse au pétrissage, ce qui a pour effet de maintenir l’érection du membre, ce dont le quidam à moitié somnolent a grand besoin pour conserver un minimum de vigilance…