1. CODEX PSI 233: Yikashata et Ariadnh


    Datte: 06/02/2020, Catégories: fh, asie, frousses, enceinte, Oral pénétratio, traduction, historiqu, Auteur: Yikashata, Source: Revebebe

    ... à ses chevilles en
    
    souvenir de ce jour. Et ils furent ajustés par Siriatos,
    
    l’orfèvre royal, pour ne jamais être retirés, car la divine
    
    Ariadnh au pubis immaculé était désormais la propriété de
    
    Yikashata aux armes resplendissantes et ne pouvait être
    
    cédée. L’assistance se réjouit de la puissance du Roi aux
    
    armes resplendissantes. Et Yikashata et la divine Ariadnh
    
    dormirent ensemble sous le dais Royal cette nuit-la. Mais il
    
    ne prit pas sa virginité.
    
    […] et les prêtres sanctifièrent leur union […]
    
    Les jours suivants, la divine Ariadnh au pubis immaculé
    
    parut aux côtés du Roi aux armes resplendissantes, chargée
    
    de l’or et des perles dont il couvrait ses membres chaque
    
    fois qu’il l’honorait de sa verge à la belle courbure. Ces
    
    bijoux étaient innombrables, car il faisait grand usage
    
    d’elle. Et lorsqu’elle marchait, les perles qu’elle portait
    
    à son col, à ses chevilles nerveuses et à ses poignets fins
    
    faisaient entendre une musique enchanteresse. Et chaque
    
    jour, ses femmes teignaient les ongles de ses pieds menus et
    
    de ses mains douces et parfumées comme l’huile d’un
    
    rouge plus profond, car ses jours féconds approchaient.
    
    Au cinquième jour du mois de Tsar, alors que la lune
    
    illuminait le ciel, la divine Ariadnh au pubis immaculé
    
    parut devant le Roi et lui dit ces mots ailés :
    
    Écoute Ô Roi. Tu as goûté le miel de mes parties intimes et
    
    tu m’as prise pour concubine. Tu m’as couverte de ...
    ... présents
    
    innombrables. Tu m’as inondée de ta semence divine, et tu
    
    m’as honorée tant de fois que tes scribes en ont perdu le
    
    compte. Mais le sceau de mon père brille toujours entre mes
    
    jambes et voici que je suis féconde. Aujourd’hui, tu
    
    prendras ma virginité ou tu me rejetteras parmi les
    
    prostituées de tes soldats.
    
    Et Yikashata aux armes resplendissantes reconnu la sagesse
    
    de ces paroles. Il rompit l’audience et se retira avec elle
    
    sous le dais royal. Il ordonna qu’on laissât ouverts les
    
    rideaux du dais afin de respecter le vœu de sa concubine à
    
    la vertu sans tache. Prenant son couteau d’airain il rompit
    
    le sceau du divin Sijapuros – que son étoile brille a
    
    jamais – en prononçant la prière du pardon. Il coupa les
    
    fils d’or qui protégeaient Ariadnh au pubis immaculé. Puis,
    
    la maintenant de son bras puissant, il prit sa virginité et
    
    fit couler son sang vermeil. À onze reprises il l’honora ce
    
    soir là, et la fit crier de jouissance plus souvent encore
    
    tandis qu’elle levait au ciel ses pieds aux ongles écarlates
    
    et que sonnaient sur l’or de ses chevilles les innombrables
    
    perles dont il l’avait ornée. Et chacun dans la salle du
    
    dais se réjouit de la virilité du Roi aux armes
    
    resplendissantes. Puis Yikashata ordonna qu’on consacrât à
    
    la Grande Mère, afin de calmer son courroux, le drap royal,
    
    maculé du sang de la vierge au pubis immaculé. Puis il
    
    commanda qu’on apposât son sceau sur le pubis de la divine
    
    Ariadnh, afin qu’elle ...
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