CODEX PSI 233: Yikashata et Ariadnh
Datte: 06/02/2020,
Catégories:
fh,
asie,
frousses,
enceinte,
Oral
pénétratio,
traduction,
historiqu,
Auteur: Yikashata, Source: Revebebe
... vers le dais Royal, un grand silence se
fit dans la salle. Elle se prosterna devant le divin Roi
aux armes resplendissantes, touchant le sol de son front
immaculé, puis se releva sans qu’il l’y invitât. Et son
voile glissa à ses pieds, révélant aux yeux de tous sa
nudité sublime. S’adressant au Roi, elle lui dit alors ces
paroles ailées :
Écoute, Ô Roi parmi les Rois. Je suis Ariadnh, fille du
divin Sijapuros – que son étoile brille à jamais –. Mon sceau
de virginité qui jamais n’a été rompu l’atteste aux yeux de
tous. Je suis la dernière de ma lignée, car moi seule ai pu
échapper au maudit […] Mes frères ont été tués par
traîtrise, et mes sœurs ont été jetées en pâture à ses
soldats. Tu as vengé ma famille et jamais je ne pourrai
payer ma dette. Car je ne possède rien de valeur, et je ne
puis t’offrir que ma virginité ainsi que ce voile qui est à
mes pieds. Prends-les. J’ai fait couler en abondance le
miel blond, doux à l’âme sur mes lèvres, mes seins et mon
sexe. Goûte-le selon la tradition de nos pères, et
prends-moi comme concubine. Je fais le vœu devant tous de
ne plus voiler mon corps et de ne plus me soustraire aux
regards avant que mon ventre ne porte ton fruit. Si tu ne
veux pas de moi, fais de moi ce que tu désires, car je suis
désormais ton esclave.
Elle parla ainsi, la divine Ariadnh à la bouche vermeille,
et au lieu de se prosterner, elle adopta la posture de la
présentation des ...
... vierges, les bras levés, les mains derrière
sa tête altière, présentant en avant ses seins parfumés.
Nul n’osa bouger ni lever le regard sur elle. Seul
Yikashata aux armes resplendissantes se leva et s’approcha
d’elle. Il ordonna que l’on consacrât à la Grande Mère le
voile qui reposait à ses pieds menus aux ongles couleur de
nacre. Il goûta le miel blond à ses lèvres vermeilles et à
ses seins doux comme des fruits. Il goûta le miel de sa
vulve qui était cousue de fil d’or, ainsi que le voulait la
coutume de sa dynastie. Les fils étaient fermés du sceau
d’or du divin Sijapuros – que son étoile brille à jamais –.
Et il sut qu’elle avait dit vrai. Il l’emmena sous son dais
et l’étendit à ses côtés sur le lit royal dans la posture
des concubines. Couchée sur le dos, adossée aux coussins,
la main gauche cachant ses seins parfumés, et la main droite
aux ongles de nacre sur son pubis immaculé, ainsi qu’il
convient à une concubine, elle illuminait la salle du dais et
tous furent éblouis.
Alors, le divin Yikashata dit à l’assistance ces paroles
ailées :
Voici Ariadnh aux seins parfumés, fille du divin
Sijapuros. J’ai goûté le miel de ses parties intimes, et,
selon la tradition de nos pères, je la prends sous ma
protection. Elle est ma concubine à partir de cet instant
et vous lui rendrez hommage comme il se doit.
Il parla ainsi, et ordonna qu’on ne fermât pas les rideaux
du dais afin de respecter le vœu de sa ...