1. Vingt et un ans après (1)


    Datte: 03/02/2020, Catégories: Erotique, Auteur: gg18120, Source: Xstory

    ... arrivées. Je t’ai déjà décrit son appartement ?
    
    — Oui ! J’ai surtout retenu le lit confortable.
    
    — Il y avait aussi un fauteuil, un guéridon, un canapé. Nous les avons tous essayés avant de finir au lit.
    
    — Rapide, la fille !
    
    Fran s’offensa presque.
    
    — Parce que tu crois que je suis restée inactive ! C’est moi qui l’ai plaquée au mur de l’entrée à peine avait-elle refermé la porte de l’appart ! Je lui ai retiré sa jupe et une très mignonne petite culotte. Anne-Laure a une chatte magnifique ! Entièrement épilée, des lèvres fines, une merveille ! Je lui ai bouffé aussitôt. Elle a apprécié.
    
    — Je n’en doutais pas.
    
    — Tu te rappelles comment je m’y prends pour faire jouir une nana ?
    
    — Je crois bien...
    
    — Je commence toujours par bien lui ouvrir la chatte. Je cherche le clito, je lèche, je suçote, j’aspire, j’agace du bout de la langue. Je ne mets un premier doigt qu’après quand la fille commence à bien onduler sur ma bouche.
    
    — Tout un art...
    
    — Je ne te le fais pas dire. J’ai enchaîné par un deuxième doigt sans négliger le clitoris pour autant. Je sais aussi me servir de mon pouce. Je l’ai fait jouir très vite.
    
    — Fran un, Anne-Laure zéro, commentais-je assez bêtement.
    
    Ma chère secrétaire ne me le fit pas remarquer. Magnanime, elle employa le même langage
    
    — Ma nouvelle copine a égalisé tout de suite après. C’est elle qui m’a déshabillée. Je me suis agenouillé sur un fauteuil et elle m’a collé sa langue juste là où cela fait le plus de bien. Je ...
    ... m’offrais autant qu’il est possible, le cul en l’air, les mains agrippées au dossier du fauteuil. Anne-Laure m’affolait ! Le plaisir montait et je le faisais savoir.
    
    — Halètements, soupirs, gémissements... Fis-je
    
    — Et un peu plus ! Je l’encourageais à continuer mais quand j’ai senti un sein se coller à ma chatte j’ai carrément crié. Je ne l’avais pas vu ôter son chemisier en soie, ni son soutien-gorge. J’ai été aussi surprise que comblée. Tu ne peux pas savoir le plaisir que procure un téton quand il caresse une chatte, en suit les contours, s’enfonce un peu... C’est divin !
    
    J’avalai ma salive avec difficulté.
    
    — Sans doute... Bredouillais-je.
    
    Fran continua sur le mode exalté sans avoir paru m’entendre.
    
    — Divin, vraiment divin. J’étais tout à coup au paradis. Anne-Laure pressait ses seins contre moi. Ses mamelons étaient durcis. J’aurais voulu qu’elle puisse me baiser ainsi. Je les adorais ces tétons ! Je voulus les sucer. Je me retournai, les pris dans ma bouche. Ils avaient le goût de ma chatte. Je les embrassais, les étirais entre mes lèvres, les titillais de la pointe de ma langue. Anne-Laure m’a collé un doigt dans le sexe. J’ai décollé aussitôt ! Un bon gros orgasme qui m’a fait trembler.
    
    Depuis un bon moment je ne trouvais plus de position confortable sur mon fauteuil. Normalement assis, le dos bien collé au dossier, cela n’allait pas. Si je m’avançais sur l’assise, non plus. En m’appuyant aux accoudoirs, c’était encore pire et si j’essayais d’adopter ...