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Vingt et un ans après (1)
Datte: 03/02/2020, Catégories: Erotique, Auteur: gg18120, Source: Xstory
... auparavant ? — Un ou deux... Rien d’intéressant, aucun charme, des mecs nuls et imbus qui sentaient le mauvais coup à cent mètres mais ne va pas t’imaginer que c’est par dépit que j’ai passé la nuit avec Anne-Laure. — Loin de moi cette idée. — J’espère bien ! Je fais mes choix comme je l’entends. Si j’ai envie de me taper un mec, je lui fais comprendre, si deux bites me tentent, je me les trouve, si je veux m’organiser un trio avec une autre nana, je me débrouille. Tu le sais bien. — Oh, oui ! — Hier, quand j’ai vu arriver Anne-Laure j’ai décidé que ce serait une soirée sans bite et que j’allais me taper cette fille. Je n’ai pas tardé à me rendre compte qu’elle avait pris la même décision. — Au contraire de toi ta nouvelle copine est une adepte de «la méthode directe » ? — Plutôt, oui ! Elle n’était pas entrée dans ce bar depuis dix minutes que j’avais déjà sa main sur la cuisse. — Comme ça ? Je venais de tenter une reproduction du geste d’Anne-Laure tel que je l’imaginais. — Un peu plus haut, dit Fran — Carrément ! — Eh oui. A peine plus et elle me touchait la chatte. — C’était possible ? — Bien sûr ! Je ne m’étais même pas encombrée d’un de mes mini-strings. — Oh ! Fis-je, en me promettant bien de vérifier si Fran n’était pas aussi peu vêtue aujourd’hui. Elle poursuivit. — Les autres filles avaient bien remarqué où se trouvait la main d’Anne-Laure. Plus d’une en était verte. Je ne suis pas fait que des copines hier. — ...
... Tu étais tombée au milieu d’un groupe de lesbiennes ? — Toutes ne l’étaient pas, je te rassure. Certaines filles étaient même assez choquées mais la plupart auraient bien aimé être à ma place avec une main féminine entre les cuisses. — Parce que cette main était entre tes jambes maintenant ? — Ma jupe le permettait. J’esquissai une nouvelle reproduction. Les jambes de Fran se resserrèrent. Je ne me tins pas pour battu. Elle continua. — Nous avons bu deux verres en nous tripotant de plus en plus. Le barman semblait ne s’apercevoir de rien. Les autres filles étaient parties discuter plus loin, les mecs ne nous regardaient pas. J’avais la chatte en feu et hâte que la soirée se poursuive dans un endroit un peu plus adapté. — Tu lui as proposé ? — Je n’en ai pas eu besoin. Elle m’a juste dit comme si c’était une évidence : « on va chez moi ». Au moment où nous avons quitté le bar de cet hôtel elle m’a roulé une première pelle. Une bonne grosse pelle comme je les aime, bien profonde, passionnée, tout ce qu’il faut pour mettre en appétit. Un vieux Monsieur qui rentrait chez lui après avoir promené son chien s’est arrêté pour nous regarder. Il n’avait pas du tout l’air offusqué, tu peux me croire. Je suis même certaine qu’il aurait bien voulu en voir plus. — Vous avez laissé ce pauvre homme sur sa faim ? — Je pense qu’Anne-Laure ne l’avait même pas remarqué. Elle ne s’intéressait qu’à moi. Elle m’a entraîné chez elle. Trois rues à parcourir et nous étions ...