1. Texeros (1)


    Datte: 01/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: jpe, Source: Xstory

    ... trop agité, s’échappe et gicle autour d’elle et surtout sur elle.
    
    Alberto rentre au même instant dans le bureau.
    
    Mais qu’est-ce qui ce passe, mais vous êtes trempée !
    
    Oui, c’est le coca, il a giclé et j’en ai partout, répond Pia un peu gênée.
    
    Vous avez d’autres affaires dans votre voiture ?
    
    Non, malheureusement !
    
    Et bien ma pauvre dame, vous ne pouvez pas rester comme ça, dit Alberto en s’approchant d’elle. Il faut enlever tout ça pour le faire sécher, non ? Ça doit coller, non ?
    
    Oui, ça colle un peu, mais ça ira.
    
    Mais non, restez là, enlevez vos habits et pendant qu’on répare la roue, tout ça va sécher.
    
    Bon, d’accord dit Pia qui commence à soulever son débardeur. Mais comme il est mouillé, elle n’y arrive pas bien.
    
    Attendez, je vais vous aider, dit le mécanicien. Et passant derrière elle, il l’aide à enlever son débardeur. Pendant qu’elle lève les bras, Alberto s’approche devant elle.
    
    Il faudrait enlever le soutien-gorge aussi, dit-il en caressant la dentelle noire, tout ça est mouillé.
    
    Maria ne sait plus ce qui se passe, le mécano derrière elle dégrafe son soutien-gorge, Alberto devant lui enlève d’une main pendant que l’autre lui caresse le ventre et descend un peu plus bas, vers les boutons de la jupe.
    
    Le mécanicien s’est collé à elle et lui presse les fesses. Elle sent une masse dure se frotter contre elle, des lèvres, des dents l’embrassent et mordillent ses épaules, ses seins nus se gonflent, leurs tétons se dressent et se ...
    ... durcissent, Alberto les saisit et les lèche, sa main a déboutonné la jupe qui glisse et tombe. Pia tremble, vacille et ses jambes nues commencent à fléchir.
    
    Rentre le deuxième mécanicien. Très jeune, 18 ans peut-être, certainement l’apprenti.
    
    Viens Tino, dit Alberto, nous avons une cliente en difficulté et il faut toujours satisfaire les clientes.
    
    Surtout quand elles sont chaudes comme Madame, répond Tino.
    
    Oui, c’est ça, il faut lui refroidir le moteur, dit le mécanicien qui derrière les épaules de Pia descend les mains vers ses fesses.
    
    Putain, t’as vu ça comme elle belle, dit Alberto à Tino, viens voir ça !
    
    Et saisissant la petite culotte en soie noire, il la baisse doucement le long des cuisses de Pia qui ferme les yeux.
    
    Regarde, regarde cette chatte ! Regarde, vas-y, mets ta main Tino, n’aie pas peur, tu vas voir, la dame est très gentille.
    
    Le jeune Tino s’approche, tâte, fouille, caresse, se met à genoux, écarte les cuisses de Pia qui semble s’effondrer, mais le mécano derrière la retient par les seins qu’il palpe, malaxe. Pia rejette sa tête en arrière, à présent totalement offerte, son ventre rebondi se durcit, ses cuisses largement écartées frémissent. Alberto lui soulève une jambe, la dépose sur l’épaule de Tino, puis l’autre, elle ne touche plus terre et sa chatte tout entière cache le visage du jeune Tino qui ne cesse de la laper et de lui sucer le clitoris. Alberto s’est allongé sous Pia, il regarde, admire, lui écarte les fesses, lui effleure ...
«12...101112...22»