1. Texeros (1)


    Datte: 01/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: jpe, Source: Xstory

    ... doucement, Viviane me saisit la verge entre ses lèvres et commence à la glisser au fond de sa bouche.
    
    M’ba accélère, je me redresse pour voir ce magnifique tableau, la bite noire, bien droite, s’enfonçant entre les fesses blanches de Viviane qui remue de plus en plus, mais déjà, je n’en peux plus, et je jouis dans sa bouche, manquant de s’étrangler, elle me relâche le sexe pour mieux tout avaler et finir de me lécher le reste. M’ba semble vaciller, Viviane râle à présent, oh oui, oh oui, oui, c’est bon, c’est bon, ça y est, il décharge, Viviane tremble de plusieurs secousses, elle jouit et l’orgasme la fait se tordre, se contracter, palpiter et gémir doucement, oh que c’est bon, que c’était bon !
    
    C’était bien ma chérie ?
    
    Oh oui !
    
    Bon Anniversaire Madame, dit M’ba en se retirant lentement d’entre les cuisses de Viviane. Merci, répondit Viviane en me mordillant les lèvres.
    
    La panne
    
    huit heures du soir. Il fait encore chaud, très chaud. Juillet touche à sa fin.
    
    Sur la route, tranquille, Pia chante en conduisant. Elle est heureuse, les vacances commencent et la salsa de l’autoradio l’entraîne et la fait rêver.
    
    À 1 kilomètre du village, soudain, affaissement du côté gauche de la voiture, elle freine, s’arrête. Elle descend et découvre qu’elle a un pneu crevé. Personne autour d’elle. Elle cherche, mais ne trouve pas de roue de secours. Une voiture arrive, elle hésite, fait un signe de la main, la voiture s’arrête.
    
    Pouvez-vous m’emmener au village, il ...
    ... faut que je trouve un garage, j’ai un pneu crevé ?
    
    Bien sûr, Madame, montez.
    
    Une demi-heure après, elle revient dans la dépanneuse d’Alberto, le garagiste du village. Il est jeune, la trentaine, grand, brun, les yeux clairs, la peau mate et la démarche souple, féline. Il regarde, cherche, ne trouve pas lui non plus de roue de secours. Il faut remorquer la voiture jusqu’au garage. Il est neuf heures, il fait bon, encore chaud, mais moite. Pia a une longue jupe légère, noire, un débardeur noir aussi qui laisse voir ses bras et ses épaules et un décolleté assez profond pour laisser deviner les formes généreuses de ses seins.
    
    Arrivés au garage, Pia en profite pour aller aux toilettes se rafraîchir et se désaltérer. Deux autres mécaniciens travaillent encore dans le garage, profitant de la fraîcheur du soir. L’un en allant aux w. c. croise Pia qui se recoiffe, il sort et se lave les mains. Il doit avoir vingt ans, les cheveux noirs, longs, retenus par un lacet en cuir, il est torse nu, sur sa peau des traces de cambouis, de graisse et d’huile. Il ressemble à un indien.
    
    Il fait chaud.
    
    Trop chaud, lui répond Pia.
    
    Vous voulez boire quelque chose de frais ?
    
    Oh oui, merci.
    
    Venez au bureau, on a un frigo.
    
    Dans le bureau, encombré de bidons d’huile et de pneus, le mécanicien lui tend un coca bien frais. Pia fait rouler la cannette métallique sur ses bras, autour de son cou et sur sa gorge pour se rafraîchir la peau. Elle soulève la languette, mais le coca un peu ...
«12...91011...22»