Texeros (1)
Datte: 01/02/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: jpe, Source: Xstory
Prière
Mon Dieu qui êtes aux cieux, à genoux, je vous supplie vous baise la face et suce votre grâce
O mon Dieu, faites qu’il vienne me serrer entre ses bras, me caresser de haut en bas, qu’il m’embrasse et me lèche debout, couchée et tête-bêche
O mon Dieu qui êtes aux cieux, faites que sa bite, son dard, son pieu se dresse et se glisse entre mes cuisses
Oui mon Dieu je le veux et l’invite sur moi, en moi autant qu’en vous, je crois, je veux que toute entière, il me possède et m’habite
O mon Dieu, faites qu’il vienne que sa volonté soit mienne, qu’il écarte mes fesses et je serais sienne que sur mon dos, sur mes seins, sur mon ventre il se presse.
O mon Dieu, faites que ça dure et qu’il se retienne que sa queue, ses doigts, sa langue me caressent, me pénètrent et j’en suis sûre qu’il m’aime comme je vous aime.
O mon Dieu, je suis toute à vous, ma vie est entre vos mains, et je veux mon corps entre les siennes, faites qu’il bande et rebande et me prenne encore et encore que je jouisse de tout mon être, je serais votre servante, je chanterai votre gloire O mon Dieu et j’avalerai sa divine semence pour mieux vous rejoindre au plus haut des cieux.
Un repas argentin
La soirée avait bien commencé, Juan et son ami Julien avaient merveilleusement apprécié le repas argentin que Maria avait préparé, empanadas, matambré avec du chimichuri, alfajoles. Le bordeaux était délicieux et Maria rayonnante dans son ensemble noir au décolleté juste assez profond pour ...
... laisser deviner des seins fermes et généreux.
Je débarrassais la table quand en soulevant l’assiette de Maria, je cognais son verre qui se renversa sur la table et coula aussitôt vers elle pour venir se répandre sur sa robe. Je pris aussitôt de l’eau et une serviette pour nettoyer la tache de vin.
“Laisse, je vais le faire”, me dit-elle
Et elle commença à frotter la tache qui se situait juste en dessous de son ventre.
“Je crois qu’il vaudrait mieux enlever la robe, ça serait plus facile” dit Julien.
“Ça va pas, non” répondit Maria.
“Mais si, mais si” renchérit Juan.
“ Elle est timide, elle n’ose pas, peut-être faut-il l’aider” dis-je.
Et passant derrière elle, je l’embrassais dans le cou pendant que je lui saisissais les bras.
“Allez-y, je la tiens, enlevez-lui sa robe, vous en avez tellement envie”.
“Arrête, Jean Philippe, arrête, c’est pas drôle, je... »
Mais elle n’avait pas fini sa phrase que Juan lui soulevant sa chemise, déboutonnait sa robe et la laissa glisser le long de ses jambes. Stupeur et admiration ! Elle ne portait pas de culotte. “Génial” dit Julien se précipitant pour admirer la scène. Maria se débattait, mais comme je lui mordillais le cou et les épaules, elle commençait à faiblir et même à pousser de petits gémissements. Je la poussais vers le rebord de la table et la prenant par les épaules, la renversai sur le carrelage frais et bleu, puis prenant ses jambes, je les écartais.
Dans cette posture qui l’écartelait avec une ...