1. 11 -24 octobre 1976


    Datte: 31/01/2020, Catégories: fh, fffh, cadeau, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... tour, c’est le moins que l’on puisse dire, elle prend son pied en moins d’une minute. Sans lui laisser le temps de dire ouf, je me retire pour plonger un poil plus bas. Je rentre aussi facilement dans son petit trou que dans l’autre et m’enfonce jusqu’à la garde. Elle a un petit cri, mais qui n’a rien d’une protestation. Je commence à la tringler avec d’amples coups de boutoir.
    
    Elle attrape ses genoux, pour rendre encore plus accessible, si cela est possible, son petit cul. Elle repart, se retenant à grand-peine de crier. Ce qui a pour effet de la faire couiner de fort curieuse manière, avec malgré tout un volume sonore respectable qui doit faire s’interroger le voisinage sur ce qui se passe, mais peut me chaut. De nouveau elle prend son plaisir, mais je continue. Une succession d’orgasmes la secoue. Tout son corps se détend et je me trouve chassé de son étroit fourreau. Elle reste prostrée de longues minutes avant d’émerger un radieux sourire illuminant son visage.
    
    Elle se lève pour m’embrasser. Elle a les jambes flageolantes. Je la soutiens et veux l’entraîner vers la salle de bain pour que nous puissions nous rafraîchir, mais elle s’écroule sur le lit pour s’endormir presque instantanément bras et jambes en croix. Je la mets dans les draps et la borde avant de me diriger, vers la salle de bain. C’est pour me trouver dans le couloir nez à nez avec Dominique et Véronique, qui avec un bel ensemble lorgnent vers mon sexe encore dressé. À leurs questions, je réponds que ...
    ... Gwendoline a eu un coup de fatigue et s’est endormie. Après m’avoir un quelque peu charrié que je devrais avoir honte d’épuiser cette pauvre fille enceinte, elles me laissent poursuivre mon chemin. Une fois propre comme un sou neuf, je ressors de la salle de bain. À peine suis-je dans le couloir que les portes de Dominique et Véronique s’ouvrent en même temps. Les deux filles se regardent et éclatent de rire. Dominique lance :
    
    — Toi aussi tu as remarqué tout à l’heure que Bernard était dans un certain état.
    — Oui et je me suis dit que je ne pouvais pas le laisser ainsi.
    — Moi aussi, j’ai pensé que cela n’aurait pas été charitable de l’abandonner de la sorte. Ma sœur devrait finir son ouvrage et ne pas laisser ce soin à d’autres, ce ne sont pas des choses qui se font. Il faudra que je pense à lui faire la leçon. Mais bon, pour cette fois, je veux bien me dévouer.
    — Tu as bien raison, mais je ne vais pas t’abandonner dans ces tristes circonstances.
    
    Leurs regards se portent avec un bel ensemble vers un endroit bien précis de mon anatomie. Celui-ci a perdu de sa superbe. D’un même geste elles tendent la main pour s’en saisir, ce qui les fait à nouveau pouffer. Je suis surpris que Dominique se lance dans ce genre de chose, cela m’aurait moins étonné de sa sœur. Mais je ne tiens pas à ce que nous nous engagions sur cette pente et essaie d’éluder. Elles s’en montrent fort surprises. Je tente de leur expliquer que cela me gêne ce genre de plan à trois. D’une même voix, elles ...