11 -24 octobre 1976
Datte: 31/01/2020,
Catégories:
fh,
fffh,
cadeau,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... clef. Il regarde sa femme, interrogateur. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur :
— Conserve-là précieusement. C’est un cadeau en deux temps, tu découvriras ce qu’elle ouvre tout à l’heure.
Le reste du repas se passe sans incident, mais je sens qu’Anne m’en veut quand même quelque peu. Le dessert à peine achevé, le téléphone sonne à nouveau. Les filles annoncent qu’elles ont trouvé de la place pour rentrer et qu’elles arriveront demain dans la matinée à Paris. Je note leur heure d’arrivée, j’irai les accueillir à la descente du train. Pierre me propose de rester coucher, pour m’éviter un trajet de plus. J’accepte avec reconnaissance.
Je vais me coucher sans tarder. Je suis pour m’endormir, quand j’entends des bruits de voix, ma chambre est mitoyenne de celle d’Anne et Pierre. Après un moment de calme, c’est Anne que j’entends et ce que j’entends ne laisse aucun doute : elle se fait sauter par son cher époux et elle aime. Visiblement il a apprécié le cadeau et ne s’est pas fait prier pour s’en servir dans les plus brefs délais. J’ai du mal à m’endormir avec les soupirs, les couinements et les halètements d’Anne ponctués de temps à autre des râles plus profonds de son mari.
Dimanche 24 octobre : croisement
Je me lève tôt afin d’être à l’heure pour accueillir mes chéries à la gare. Je ne suis pas le seul, Pierre qui veut faire un saut à son bureau est également matinal. Nous prenons notre petit déjeuner de concert. Ce n’est qu’après son départ qu’Anne ...
... apparaît. Avant qu’elle ne se lance dans quelque récrimination, je coupe court en déclarant :
— Tu avais dû oublier que je couchais dans la chambre mitoyenne et j’ai pu constater qu’apparemment ton cadeau a été prisé et que ton mari ne s’en est nullement offusqué.
Anne a le bon goût de rosir :
— C’est vrai qu’il a été apprécié et plus encore.
Elle ouvre sa chemise de nuit pour me faire voir qu’elle porte son slip cadenassé avec le godemiché enfoncé dans son fondement.
— Pierre a gardé la clef et m’a dit de la rejoindre au restaurant où l’on doit déjeuner avec des amis, que c’était ma punition pour être une vilaine fille dévergondée, et ce depuis l’école.
— Tu lui as raconté tes aventures avec ta condisciple ? A-t-il apprécié ?
— Oui, ça l’a émoustillé. Mais à vrai dire, il n’avait pas besoin de ça. C’était comme la cerise sur le gâteau.
— Et il n’a pas trouvé tes fesses un peu rouges ?
— Si, mais je lui ai dit que j’étais restée trop longtemps sur un siège inconfortable et qu’avec ma grossesse ma circulation était moins bonne.
Nous discutons encore un peu, avant que je ne parte pour la gare, via la maison pour nourrir la chatte.
Quand mes chéries descendent du train, après moult baisers et effusions, nous décidons d’aller déjeuner au restaurant. Nous sommes tous déçus de ce chassé-croisé impromptu, mais chacun prend plutôt la chose avec humour. Le déjeuner achevé, nous repartons de concert vers la maison. À peine arrivés, Dominique et Véronique disparaissent ...