1. Soupline, copine coquine


    Datte: 11/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... dans ses mains, ses deux mains, la droite la gauche. Le savon liquide et le mouvement alternatif pour bien décalotter les glands en rythme synchro des gros diesels propulsifs du bateau. Et le savon liquide Dove fourni par la compagnie maritime qui donnerait légèreté à sa masturbation des tiges souples.
    
    Elle y était et elle souriait. Soupline a un sourire qui, toujours, chavire, même les plus gros navires. Les gars ont tout compris. Ils ont dit, ce soir on vous emmène souper à la Brasserie du Théâtre. Elle a dit, je sais où c’est, OK, 8h ?
    
    Ma copine est coquine, oui, mais c’est aussi une vraie copine. Elle m’a aussitôt SMSé de la rejoindre à la dite brasserie. À 20h15 j’arrivais impromptue à leur table. Les gars avaient la banane, comme devant un miracle de JC. Multiplication des pains ... ou du vin. Enfin, plus prosaïquement des vagins.
    
    Et leurs bites, nous en étions sûres, avaient pris pleine expansion sous la table de bistrot. On a voulu vérifier. Et bien, tout était vrai.
    
    Le mien était tellement tendu qu’il coinçait irrémédiablement le zip malgré mes efforts et ma réelle habileté à descendre les tirettes de laiton des garçons.
    
    Soupline avait eu plus de succés et l’engin du gars s’était entièrement déroulé entre ses doigts, encore souple et mobile dans sa paume.
    
    On riait tous les quatre à la table de marbre de la Brasserie du Théâtre. Sauf les mains des filles affairées en dessous de la dite table de marbre et le regard complice de Marlène, la ...
    ... patronne.
    
    Activités des filles cachées par les tombants de la nappe blanche.
    
    Enfin, pas si cachées que ça vu que tout le resto n’avait d’yeux que pour nous, deux filles coquines et deux gars qu’elles avaient capturés. Et qu’elles tripotaient sans vergogne à quatre mains comme au piano. À queue, le piano...
    
    Soupline a voulu zapper le dessert, disant qu’on avait mieux à faire que bouffer des gâteaux et boire du café. Les hommes ont posé chacun sa CB sur la table et Marlène les a passées au sabot puis on est partis. Marlène a bisé les garçons, main à la taille. Elle est comme ça, Marlène, c’est pour ça qu’on revient, encore et toujours, à la brasserie du théâtre, les soirs de libido exacerbée.
    
    L’un des frères avait son appart just’à côté, dans la Grand’rue. On est montées, Soupline et moi, tout en haut dans un loft sur terrasse dessus les toits de la ville.
    
    Les gars étaient du genre réservés et aucun des deux n’avaient mis sa main à nos culottes. Nous, en revanche, on avait monté les escaliers en colimaçon XVIème siécle en les tripotant sans vergogne.
    
    Soupline avait sa main au bas du dos de l’aîné, sous la ceinture, entre les fesses. Et je comprenais qu’elle lui avait enfilé un doigt au cul et qu’il montait les marches en prenant son pied à chacune.
    
    Moi, j’étais plus sage et m’étais contentée d’empaumer le paquet du cadet et de me régaler de ses roupes de sa queue qui roulaient sous mes doigts à chaque pas.
    
    Les gars étaient modernes et ils ont voulu qu’avant le ...