Soupline, copine coquine
Datte: 11/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jpj, Source: Hds
Soupline, ma meilleure amie, était fille de petite taille, menue, mais portait fiérement un bon 95 D haut sur le thorax. En la regardant on pensait que ce qu’elle mangeait ne lui profitait guère, sauf là. Ses cuisses étaient fines, ses bras aussi. Même sa tête était comme celle d’un oiseau. Et son nez remontait en avant comme trompette, comme celui de cette fille de la télé, Dorothée.
Elle était néanmoins jolie fille, comme petite poupée avec une taille dont on aurait pu faire le tour des deux mains, comme on dit. Enfin, comme disent les hommes des filles qu’ils aiment à tenir dans leurs bras serrées.
Le contraste entre ce corps menu et cette magnifique poitrine était saisissant. Peu de ceux qui la côtoyaient restaient insensibles à cette morphologie étonnante. Garçons comme filles.
Elle bossait au Crédit Agricole, au comptoir d’une agence de ville, place de la Comédie. Aussi voyait-elle du monde et du monde la voyait. Clientèle variée de gens de quartier qui venaient déposer des chèques à encaisser ou effectuer des virements.
Elle trônait sur sa chaise haute, derrière son écran d’ordinateur, femme buste, superbe. Les mecs bandaient, les femmes mouillaient et le directeur de l’agence pensait, me faudra rapidement réclamer augmentation justifiée par cet accroissement étonnant d’affluence de la chalandise.
On la croyait fille sage... même un peu coincée du cul peut être ?
En fait, Soupline était fille coquine. Trés coquine.
Soupline avait une sorte de toc. ...
... Elle était obnubilée par la bite des garçons. Elle me disait, quand je vois un mec rentrer dans mon agence, mon regard aussitôt va à ses yeux pour un sourire de bienvenue puis, loi de pesanteur oblige, il tombe, mon regard, au pantalon, à la braguette. Dura lex sed lex.
Je mate.
Je mate et remate. Longuement. J’ausculte les plis et replis de l’étoffe pour bien comprendre. Je vois, celui-ci porte à gauche, ses roupes gonflent en dessous et le gland moule indécemment sur la droite de la braguette. Je comprends que celui-ci est bien monté et cela me plaît.
Soupline aimait les mecs sévèrement burnés qui venaient à elle, à son comptoir de banquière en fin d’après-midi, juste avant fin de service.
Elle était accueillante, chaleureuse d’un mouvement de buste qui faisait saillir ses deux nibards en bienvenue de mouvement en lourde inertie de balancement.
Et elle se régalait d’observer le développement de la tige là sous ses yeux gonflant la braguette comme une réponse muette d’acquiescement, de complicité.
Son truc, à Soupline, c’est qu’elle aimait à triturer.
Alors elle ne se pourlèchait pas les babines pour ne pas laisser imaginer un instant au client qu’elle serait fêleuse et proposait pipe.
Non, Soupline, montrait son intérêt par un regard bloqué sur le paquet du mec et une main ouverte, tendue, vibrante comme toute entière en recherche d’appréhension.
Tripote-moi la bite avec les doigts. La chanson et son refrain trottaient alors comme révélation dans ...