1. Brigitte la cougar


    Datte: 30/01/2020, Catégories: fh, fplusag, nympho, collection, pied, facial, Oral fdanus, init, totalsexe, Auteur: Scorpiondeluxe, Source: Revebebe

    ... mains : je voulais sentir ses tétons durs entre mes doigts. Elle avait gardé son chemisier noir transparent, je la tenais bien par les hanches pour la prendre « sauvagement », comme elle me le demandait. Mon bassin claquait contre son entrejambe, je me surpris même à lui claquer les fesses de la paume de ma main, bien à plat et elle en redemandait ! :
    
    — Vas-y, je suis ta belle chienne, continue !
    
    À ce rythme-là, excité comme j’étais, je n’allais pas tenir très longtemps et alors que je la besognais, que je n’arrêtais pas de lui dire :
    
    — Qu’est-ce que tu es bonne, Brigitte ! Tu la sens bien, ma queue en toi, hein ?
    
    Je finis par lui dire :
    
    — Tu vas me faire jouir, salope.
    
    Elle se dégagea pour m’offrir sa bouche. Elle avait ces yeux de vicieuse chaudasse qui réclamait sa dose de sperme. Oui, Brigitte était une sacrée gourmande. On aurait dit une scène de film de cul au ralenti… Moi, en train de me branler devant son visage, elle qui me caressait les couilles tout en ouvrant sa bouche à fond. Elle m’encourageait par des :
    
    — Vas-y, mon salaud, jouis dans ma bouche, je veux encore ton jus…
    
    Et des :
    
    — Donne-moi tout, j’ai faim…
    
    Ce qui devait arriver… arriva, dans un dernier mouvement du poignet, je lâchais la purée sur sa langue, sur sa bouche carmin et jusque sur ses cheveux platine, quelques gouttes allant même s’écraser sur son chemisier de soie noire… C’était elle la prédatrice et pourtant, souillée de mon foutre, c’était elle l’arroseur ...
    ... arrosé…
    
    Son petit sourire en coin me fit comprendre que j’avais, haut la main, réussi mon examen d’entrée. Elle m’entraîna jusque dans sa chambre où l’on remit le couvert plusieurs fois…
    
    Brigitte était insatiable.
    
    Brigitte avait le feu aux fesses.
    
    Je l’ai prise allongée, assise, debout : c’était une vraie chaudasse, assoiffée de plaisir. Le top du top, ça a été quand elle m’a demandé de lui mettre entre les fesses un magnifique gode en inox qu’elle avait sur sa table de nuit.
    
    — Défonce-moi le cul avec, j’adore ça !
    
    Je lui ai écartelé son petit trou, tout en lui possédant sauvagement la chatte. Je sentais le gode dans son cul qui frottait contre ma bite : c’était divin !
    
    On a baisé toute la nuit, j’ai cru que j’allais lui défoncer son matelas tellement elle en voulait ! Sous ses airs de sainte-nitouche, c’était une sacrée bombe sexuelle, ma Brigitte ! C’est aussi ça qui m’excitait terriblement chez elle : la défoncer comme la dernière des putes alors que j’aurais pu la croiser en train de faire ses courses, en serre-tête, jupe plissée et ballerines, très snob et hautaine, du style « Brigitte-la-coincée-du-cul » !
    
    On finit par s’endormir, complètement cassés l’un et l’autre par nos parties de jambes en l’air. J’avais la bite en feu tellement je l’avais limée. Je m’endormis auprès d’elle, mes mains sur son ventre tout chaud, un peu protecteur…
    
    Puis, tel un Arsène Lupin du sexe, un cambrioleur de chattes, un voleur d’orgasmes, je la laissai au petit matin, ...