Brigitte la cougar
Datte: 30/01/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
nympho,
collection,
pied,
facial,
Oral
fdanus,
init,
totalsexe,
Auteur: Scorpiondeluxe, Source: Revebebe
… Brigitte avait 55 ans et c’était une sacrée bourgeoise libérée…
Sitôt sa majestueuse fellation prodiguée dans ma voiture, elle recommença à me parler de tout et de rien, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Nous partîmes donc pour chez elle. Sur le chemin, elle s’épancha un peu sur sa vie en tirant sur sa fine cigarette.
Sur la route qui nous menait vers son appartement à Neuilly, elle avait cette allure de femme bourgeoise qui s’était peu à peu muée en demi-mondaine, une femme qui avait le démon de midi, qui voulait redevenir femme… Elle m’expliqua qu’elle était séparée, son mari l’ayant quittée cinq ans auparavant pour « une jeunette, ce beau salaud ». Dès lors, depuis sa séparation, elle avait décidé de reprendre les choses « en mains », de redécouvrir sa féminité et de s’offrir de « petits plaisirs » comme elle disait.
Ah ! c’est clair que Brigitte avait de sacrés arguments pour faire plaisir à un homme… Elle avait fait le deuil de sa séparation en se découvrant un côté « femme libérée », en fréquentant d’abord les « thés dansants » puis de fil en aiguille, les partouzes et autres soirées parisiennes débridées. J’appris ainsi que ces « après-midi » se continuaient en soirées olé-olé et en parties fines chez les uns et les autres « habitués », qu’elle s’était régulièrement tapé des gigolos qui l’avaient « baisée comme une pute » et qu’aujourd’hui, elle aspirait tout simplement à se faire plaisir sexuellement au gré des hommes « plus ou moins jeunes » ...
... qu’elle rencontrait…
Nonchalamment, je laissais glisser le bout de mes doigts sur ses jambes tout en conduisant. Écartant ses cuisses, elle me facilita même le passage pour que je puisse caresser son abricot mûr à travers le tissu de son string… Tout en lui caressant doucement les cuisses, je lui rappelai combien j’étais charmé qu’elle ait pu me choisir MOI plutôt qu’un autre… Elle eut ce sourire carnassier en me disant qu’elle aimait la chair « fraîche »…
— Tu avais un visage d’ange quand je t’ai regardé tout à l’heure…
Elle habitait donc Neuilly dans un de ces immeubles haussmanniens qui donnent tout de suite le ton d’une « certaine bourgeoisie ». Comme je ne cessais de me le répéter en moi-même :« Tu vas te taper une belle salope de bourgeoise qui a le feu aux fesses, applique-toi bien, il faut assurer ce soir ».
Son appartement était décoré avec goût et je me souviens surtout de ce tapis en panthère qui traînait majestueusement dans le salon :
— Un souvenir d’une chasse en Afrique de mon ex-mari, me dit-elle.
Un canapé en cuir crème, des meubles anciens, de grandes plantes vertes et surtout son parfum qui semblait flotter partout : j’étais simplement une jeune proie prête à se faire déguster, dans la tanière d’une bellecougar.
Elle me demanda ce que je voulais boire :
— Une vodka, répondis-je.
Et elle se prit un whisky.
Je me sentais comme dans une salle d’attente. Je la regardais revenir vers moi se déhanchant sur ses hauts talons de 15… ...