Brigitte la cougar
Datte: 30/01/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
nympho,
collection,
pied,
facial,
Oral
fdanus,
init,
totalsexe,
Auteur: Scorpiondeluxe, Source: Revebebe
... ou bien encore des « tu es doué, mon salaud »… Je lui léchais la chatte avec application et je sentais le goût de sa mouille qui venait imprégner ma langue. J’écartais ses lèvres avec mes doigts, histoire de venir la fouiller encore plus intimement. Elle avait pris soin de dégrafer son chemisier et son soutien-gorge et elle se caressait les seins tandis que je la léchais. Je remontai ma langue jusqu’à son clitoris, tout en lui caressant le ventre et les hanches avec mes mains : j’aime sentir ces tremblements préorgasmiques qui étreignent les femmes quand on leur lèche la chatte. Elle gémissait de plus en plus sous mes caresses buccales. Je sentais surtout sa mouille qui dégoulinait intensément sur ma langue et mes lèvres qui faisaient ce bruit de succion si caractéristique dans le silence de l’appartement et qui rajoutaient à mon excitation.
Du bout de la langue, je ne la lâchais pas, je sentis qu’elle se tortillait de plus en plus. Moi j’agrippai mes mains à ses fesses pour bien plaquer mon visage contre sa chatte et d’un coup elle commença à me dire :
— Je vais venir. Continue, c’est trop bon… Vas-y… vas-y… vas-y… je viens…
Et je sentis sa belle chatte s’ouvrir, sous mes coups de langue, avec son jus encore plus abondant qui sortait du plus profond d’elle-même. Dans un râle primal, qui venait du fond d’elle-même, elle se mit à jouir avec une tonalité grave, presque animale. Je continuais encore et encore de la lécher, me régalant de sa belle mouille de femme ...
... mûre.
Inutile de dire que j’étais super excité et que je n’avais plus qu’une seule envie : c’était de la baiser sans ménagement.
J’enlevai fébrilement ma chemise, mon pantalon, mon boxer, dévoilant mon sexe au garde-à-vous. Je pris ses jambes pour les mettre sur mes épaules et la pénétrai comme ça, d’un coup. Après son orgasme, sa chatte était brûlante et ma queue y glissait comme dans du beurre.
Ce qui m’excitait le plus, c’était de la baiser alors qu’elle était encore en lingerie. Je sentais ses bas noirs qui caressaient mes épaules alors que je rentrais et sortais en elle. Mon sexe faisait ces bruits de succion, comme si elle était littéralement aspirée par sa chatte en fusion. Je la baisais jusqu’au fond de son ventre, lui donnant de grands coups de queue. Ça avait l’air de lui plaire car elle gémissait en me disant :
— Oh, qu’est-ce que tu me mets ! Vas-y, continue, c’est trop bon…
Je tenais ses jambes écartées. J’avais une belle salope de bourgeoise sous l’emprise de ma bite et elle aimait ça. Oui, Brigitte, cette belle chaudasse, aimait mes bons coups de queue et la baiser chez elle, sur son canapé, m’excitait au plus haut point. Les « floc-floc » de sa chatte sous mes coups de reins, ses halètements, ses jambes que je tenais écartées, tout ça décuplait mon envie de bien la baiser. Ah, elle était sacrément bonne, la Brigitte !
On changea de position, elle se mit à quatre pattes, je la pris en levrette, lui tenant et lui pétrissant ses gros seins avec mes ...