Sylviane, pute à en devenir. (13)
Datte: 28/01/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... deux heures.
Elles ont entendu et se jettent à corps perdu sur ce jeune mâle. Mais le "chien" grogne en montrant ses dents.
— Il est nerveux, je crois que la petite lui plaît. Rappelez vos femelles et laissons-les s’accoupler une première fois. Ensuite, lorsqu’il se sera calmé, on les autorisera.
Amandine et sa mère ont compris et laissent les deux amants du jour se renifler. Prise au jeu, Aurélie léchouille le cou, les épaules, les reins, avant de s’attaquer à l’anus du "chien". Sa maîtresse, folle de joie et d’excitation, me caresse le sexe à travers mon short. Je la regarde, elle est obnubilée par la joute amoureuse qui se déroule devant ses yeux. Je remonte sa jupe. Elle ne dit rien, au contraire, elle écarte les jambes pour me faciliter l’accès à sa chatte. Elle est, comme je m’en doutais, rasée et honteusement trempée, pour son âge. Je demande à Sylviane et Amandine de venir lui lécher la cramouille. Mathilde est pleine de joie et me remercie. Elle s’assoit sur la banquette, relève sa jupe et écarte ses jambes comme une gymnaste, en grand écart. Les filles sont en joie d’avoir accès à ce sexe et à cet anus. Je me lève et lui donne mon sexe à téter. Elle l’avale d’un coup en gorge profonde.
Aurélie se laisse faire. Le "chien" lui renifle l’arrière-train, lui donne deux ou trois coups de langue, ça va bientôt être l’heure de la saillie. Il monte sur le dos et d’un coup, il pourfend Aurélie qui s’écroule sur ses avant-bras. Il mordille le cou, lui palpe ses ...
... petits seins, lui étire ses tétons. Il y va fort, même très fort. Il a les yeux braqués sur sa queue noyée par les sécrétions abondantes de la petite. Elle a la tête plongée dans un oreiller et elle couine.
La pipe de Mathilde est magique. Elle vient de me faire atteindre par deux fois l’extase, s’arrêtant à chaque fois avant le point de non-retour. Elle me gobe les couilles, me lèche la hampe, joie avec mon frein et mon méat, avant de me reprendre en bouche. Elle déglutit avec ma queue au plus profond de sa gorge. Elle bave, mais n’a aucun reflux.
Sylviane et Amandine jouent de la langue sur les nymphes de Mathilde, qui regarde avec intérêt son "chien" saillir la puce. Il est aussi maigre qu’un lévrier, on voit ses cotes se dessiner sur ses flancs.
— AAAAHHH, OUI... JE VIENS MES PETITES TRUIES... VOUS ME FAITES PARTIR... OUIIIIIII... ARRÊTEZ, VOUS ALLEZ ME TUER...
Mais les deux chipies ne s’arrêtent pas, elles en rigolent. Mathilde me pompe comme une folle et me fait jouir comme rarement. Elle aspire ma queue comme une trayeuse. Elle repousse les deux femelles du pied et se gargarise de mon foutre.
Après cette pipe et ce cunnilinctus rondement menés et appréciés, elle autorise son "chien" à ensemencer la petite Aurélie qui n’en peut plus.
— Vas-y "Djé", donne-lui ton bon sperme de chien.
Enfin, le "chien" s’appelle en définitive "Djé", bonne nouvelle. Il lime en ressortant sa bite qui a rougi à chaque fois. Puis il se bloque au fond de la matrice d’Aurélie ...