Sylviane, pute à en devenir. (13) - Histoires de Sexe

Sylviane, pute à en devenir. (13)

On prend ma voiture, une vieille Volvo break. J’attache Amandine dans le coffre, Aurélie monte à l’arrière et Sylviane devant. Nous sommes partis pour ce lieu de débauche de plein air. Si Cathy m’a dit vrai, on devrait bien s’amuser. Je conduis prudemment, je passe la barrière de péage et je me retrouve direction Le-Luc-en-Provence. Il nous faut une vingtaine de minutes pour arriver sur ce parking qui semble vide. Je roule lentement jusqu’à atteindre un chemin de terre qui arpente entre des pins maritimes. Une petite clairière, des voitures nous accueillent. Elles sont stratégiquement positionnées en demi-cercle, il y a même deux vieux camping-cars et une camionnette. Je me place comme eux, à côté de la camionnette.

— Voilà, les filles, nous y sommes. Vous allez pouvoir sucer des queues et lécher des chattes, mais pour l’instant, restez à l’intérieur, je reviens.

Je sors et me dirige vers un mec qui fume, appuyé sur le capot de sa voiture. Il me salue, je lui demande si ça baise ici. Il me dit que l’on est tous là pour ça. Lui est accompagné de sa femme et de sa belle-sœur. Elles se chauffent toutes les deux à l’arrière de sa voiture. Il me demande si je suis seul.

— Non, j’ai trois chiennasses, la mère et ses deux filles.

— On peut voir ?

— Certainement. Venez.

Les vitres de ma voiture étant teintées, on ne voit que Sylviane qui nous observe.

— Hum, sacré morceau. La mère, je présume ?

Je dodeline de la tête et je vais vers le coffre et l’ouvre. Je ...

... lui présente Amandine. Il ne s’étonne pas du fait qu’elle soit attachée dans le coffre.

— Et le meilleur pour la fin, dis-je en ouvrant la porte arrière gauche, Aurélie. Très jeune et très salope, perverse.

— On peut voir la mère en pied ?

Je fais signe à Sylviane de descendre, de faire le tour pour nous rejoindre. On est coincé entre la camionnette et ma voiture. Soudain, la porte latérale du véhicule s’ouvre. Un couple d’environ trente ans nous regarde et descend. Après un petit échange courtois, ils se dirigent vers un des deux camping-cars et nous disent qu’ils sont attendus et nous disent que l’on peut profiter de leur camion.

— Bonne bourre, leur lance le mec, si vous avez besoin, j’ai deux salopes à l’arrière de ma voiture.

D’un signe de main, le garçon lui dit non. Ils entrent dans le vieux camping-car sans frapper. Dans le reste du demi-cercle, ça s’active. Je peux voir des jambes largement écartées, des bites entreprises par des bouches avides, des chattes, des culs défoncés par des mecs, des nanas équipées de godes ceintures. Un groupe de trois jeunes mecs est même en train d’enfiler un quatrième jeunot, à peine l’âge légal pour s’adonner à ce genre de pratique en plein air.

Sylviane regarde tout cela avec envie. Elle me dit qu’elle a chaud, qu’elle est trempée. Je lui dis de retirer son short. Une fois la chatte à l’air, je demande à Amandine de sortir venir soulager sa mère. Elle s’agenouille devant les cuisses maternelles et plonge sur le sexe ...