Sylviane, pute à en devenir. (13) - Histoires de Sexe

Sylviane, pute à en devenir. (13)

... détrempé de Sylviane, qui ferme les yeux et apprécie dans un râle de contentement.

— Et la petite, on peut s’amuser avec ?

— Oui, mais vous ne me l’abîmez pas.

Il descend son short et jaillit une bite courte, mais énorme. Je positionne Aurélie en levrette sur le matelas du camion. Je lui claque la fesse et lui demande d’être très sage avec le monsieur.

— Jean, me dit-il.

— Hervé.

Je m’éloigne de ma voiture et du camion quand j’aperçois un petit bout de femme. La soixantaine, bien gaulée, sûrement une bourgeoise esseulée. Je m’approche et là, surprise, elle n’est pas seule. Un jeune éphèbe l’accompagne, il est nu et tenu en laisse. Il est totalement imberbe, crâne rasé à blanc. Il bande comme un âne, on dirait le petit frère de Damien au vu de sa morphologie sexuelle. Il a une bite bien grosse et longue. Je m’approche de ce couple étrange.

— Bonjour, Madame, quel bel étalon vous avez là.

— Merci, je cherche sa chienne, mais je ne crois pas la trouver aujourd’hui... Aucune ne rentre dans mes critères.

— Et quels sont-ils ?

— Il faut qu’elle ait 20 ans maximum, qu’elle soit docile et vénère son Maître. J’aime le style androgyne. Mais je n’ai pas encore trouvé la perle rare.

— Permettez de vous contredire. J’ai une petite soumise de 18 ans qui rentre tout à fait dans vos critères.

— Et où est cette charmante créature ?

— Là-bas, dans le camion, là-bas.

— Allons voir, si vous le permettez ?

Elle me suit, le petit marchant derrière elle. ...

... On arrive entre ma voiture et la camionnette, on entend les soupirs et les râles de Sylviane et d’Amandine, elles sont en 69 dans mon coffre. Je rigole en les voyant se manger l’abricot et se mettre des doigts dans leur chatte.

— Je vous présente la mère et dessous, la sœur.

— Hum, je vois qu’elles ont été bien dressées. Mes félicitations, Monsieur ? ? ?

— Hervé...

— Mathilde, et mon chien ne s’appelle pas. Il se siffle.

— Le mec est déjà parti ? Je demande à Aurélie.

— Mouais, encore un éjaculateur précoce, me répond-elle, déçue.

Je rentre et invite Madame Mathilde et son "chien" à monter. Aurélie est subjuguée par le "chien". Elle louche sur ce jeune corps aussi lisse que le sien et évidemment, sur son sexe. Je n’avais pas remarqué, il est affublé d’un triple cockring. Un premier anneau lui enserre la base de sa bite et de ses testicules, un anneau lui prend les bourses et un dernier à la base de son sexe.

— Ça lui fait une grosse bite, non ? Et j’aime bien voir ses couilles bien pendantes. Un délice pour les yeux... Et pas que.

Aurélie est à quatre pattes face à cette verge qui palpite et d’où coule du liquide séminal. Aurélie s’approche et sort sa langue. Mathilde met son "chien" dans la même position. Il renifle Aurélie sous les bras, ses seins, son dos et bientôt, sa croupe. Aurélie rigole. Sylviane et Amandine arrivent, curieuses, elles montent nous rejoindre.

— Elles peuvent participer, il a le record d’accouplement de la région. Huit en ...