Introduction délicate.
Datte: 26/01/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
fdanus,
Humour
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... peu. Situation d’autant plus bandante que dans les mouvements désordonnés et inefficaces qu’elle faisait pour essayer de monter sur la branche, son petit cul se crispait, faisant ressortir la rondeur de la fesse, soulignant sa fermeté; la culotte malmenée, tour à tour découvrait ou cachait des parties de son intimité. Le plaisir d’attendre l’apparition d’un bout de lèvre, d’une touffe de poils…
Dans mon pantalon de tergal bien repassé que j’avais enfilé pour l’occasion, y’avait réunion au sommet. D’ailleurs, Popaul était tellement au sommet qu’il cognait contre la ceinture pour qu’elle le libère. Je ne sais pas combien de temps je serais resté à contempler ce joli cul si une voix encolérée ne m’avait pas tiré de ma béatitude :
— Jeune homme ! Serait-ce un effet de votre bonté que d’arrêter de baver devant mon entrejambe et de me tirer de ce mauvais pas.
Voix autoritaire de quelqu’un qui a l’habitude d’être obéi. M’dame la Comtesse avait peut-être une petite fille, à moins que ce soit une de ces dames de compagnie qui lèchent le cul à Madame, mais se montrent méprisante envers le bas peuple.
— Justement, M ’dame, répondis-je effrontément, j’réfléchissais au moyen d’vous sortir de là.
— Et c’est pour ça que vous bandez comme un Turc, je suppose !
Elle avait pas les yeux dans sa poche et manquait pas de sang-froid. Je ne sus que répondre. Aussi enchaîna-t-elle :
— Voilà ce que nous allons faire. Avancez encore de deux pas et n’en profitez pas ! Vous avez assez ...
... regardé et vous allez avoir besoin de toute votre tête ! Voilà ! Maintenant, je vais poser mes pieds sur vos épaules ! Lorsque je serai stabilisée, je laisserai glisser mes jambes jusqu’à ce que je sois en appui sur vos épaules. Ensuite, il vous suffira de me descendre le long de votre corps !
Je ne pus retenir un ricanement.
— Cessez donc de glapir ! Concentrez-vous ! Et attrapez mes chevilles !
Elle dégagea d’abord sa jambe droite. J’attrapai sa cheville, ne pouvant ignorer au passage la finesse de l’attache, l’élasticité et la douceur de la peau. J’étais très loin des putes sur le retour que nous consommions au Bled. Je l’aidai à poser son pied chaussé d’une légère sandale sur mon épaule gauche. Nous procédâmes de façon analogue avec la jambe gauche.
Elle se retrouva alors, pieds campés sur mes épaules, jambes pliées entrouvertes, fesses en arrière, bras tendus, mains crispées sur la branche, dans une position acrobatique. J’essayai de me concentrer comme elle me l’avait demandé, mais il aurait fallu que je garde les yeux baissés. Or pour l’aider efficacement, fallait que je regarde vers le haut.
Et vers le haut !! Comment ne pas voir à travers la déchirure de la cotonnade, d’autres fêlures, congénitales celles-là, comme le chantera plus tard Brassens. La végétation pourtant luxuriante ne parvenait plus entièrement à masquer l’entrée de cette déchirure verticale. Je devinai plus que je ne voyais ces grandes lèvres encadrant sa vulve entrebâillée. Cette même ...